Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

L’adéquation formation-emploi : nouveau cheval de Troie


Classé dans : Monde syndical | 0

À force d’être répétée par les gouvernements successifs, l’expression «adéquation formation-emploi» semble désormais relever du «gros bon sens»: Qui pourrait être contre une complémentarité entre les emplois disponibles et la formation des personnes qui favoriserait «l’intégration en emploi»? Pourtant, «complémentarité» ne devrait pas signifier «sujétion». Or, il semble que cette formule de «l’adéquation formation-emploi» ne soit, en fait, qu’un cheval de Troie visant à subordonner le monde de l’éducation aux intérêts des entreprises et à introduire une logique marchande au sein des rapports sociaux au détriment du bien commun et de la démocratie.

Lire la chronique 70 du comité École et société de la FNEEQ.

50 ans d’éducation depuis la Révolution tranquille : Faut-il célébrer ou s’inquiéter?


Classé dans : Monde syndical | 0

Nous célébrons cette année les 50 ans du ministère de l’Éducation, lequel est encore aujourd’hui à la fois l’instrument et le symbole de la démocratisation de l’éducation et du développement d’un Québec créatif et moderne. Pour la FNEEQ, le premier défi à relever en réponse aux besoins plus diversifiés des étudiantes, étudiants et des élèves est d’éviter une marchandisation croissante de l’éducation. Un système d’éducation qui cherche à être « rentable », et qui accepte de se plier à la loi de l’offre et de la demande, se centre peu à peu sur les besoins du marché plutôt que sur le développement intégral de la personne.

Montréal, hôte d’une conférence mondiale pour une éducation de qualité


Classé dans : Monde syndical | 0

L’Internationale de l’éducation (IE), organisation qui regroupe près de 30 millions de membres des personnels enseignants à travers le monde, tiendra une conférence à Montréal du 27 au 30 mai 2014. Des membres de l’exécutif de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ) et des membres du comité école et société seront sur place pour représenter la FNEEQ. Le 4 octobre 2013, l’IE lançait son année mondiale d’action sous le thème « Uni(e)s pour l’éducation – Une éducation de qualité pour un monde meilleur ». La conférence arrive à mi-chemin de cette mobilisation qui se terminera avec la Journée mondiale des enseignantes et enseignants, le 5 octobre 2014.

Le morcellement des tâches d’enseignement et la création de nouveaux titres d’emploi dans les universités


Classé dans : Derniers communiqués SPPEUQAM, Monde syndical | 0

Au cours des dernières décennies, les divers gouvernements ont choisi d’accorder moins d’importance à l’éducation qu’à des secteurs dits « plus rentables ». Ces choix des gouvernements, au nom de la société, ont des effets majeurs sur la gestion (gouvernance) de l’université québécoise, son rôle et ses missions ainsi que l’enseignement que l’on y dispense. Il est clair que l’université québécoise adhère à ces orientations. Pensons aux universités montréalaises qui choisissent d’investir dans l’immobilier et gardons l’œil ouvert sur les projets de l’Université de Montréal pour son futur site d’Outremont.

Lire la suite du texte du comité École et société de la FNEEQ.