Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

L’Université Laval sommée de verser les droits d’auteur impayés


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

De nombreux écrivains québécois réputés s’allient pour sommer l’Université Laval de revoir sa décision de ne pas renouveler l’entente qui la lie à Copibec pour le versement des droits d’auteur perçus sur les oeuvres reproduites. Dans une lettre ouverte cosignée par Chrystine Brouillet, Arlette Cousture, Marie Laberge, Yann Martel, Michel Tremblay et plusieurs autres, ils demandent au recteur Denis Brière de corriger le tir et d’éviter par le fait même des procédures judiciaires longues et coûteuses.

Lire la suite du texte de La Presse.