Entre vous et moi


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Je profite de mon mot de la semaine pour appuyer une initiative étudiante: L’UQAM ferme ses portes au savoir. De toutes les universités sur l’île de Montréal, l’UQAM a les pires horaires d’ouverture des bibliothèques. La seule à les fermer le dimanche et celle qui les ouvre le plus tard et les ferme le plus tôt les six autres jours de la semaine. En cette période d’examens, des étudiants revendiquent un accès 24 heures par jour, 7 jours par semaine, aux bibliothèques de l’UQAM. Bientôt je participerai aux entrevues de sélection des futures étudiantes et futurs étudiants en journalisme. Je leur expliquerai que l’UQAM sera peut-être leur nouveau milieu de vie pour les prochaines années, qu’il y a des cours qui se terminent à minuit, des laboratoires pratiquement ouverts en tout temps, mais un milieu de vie presque exempt de bibliothèques… en dehors du 9 à 5.

L’UQAM ferme ses portes au savoir, des étudiants veulent les faire ouvrir


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De toutes les universités sur l’île de Montréal, l’UQAM a les pires horaires d’ouverture des bibliothèques et la seule à les fermer le dimanche. En cette période d’examens, des étudiants revendiquent un accès 24 heures aux bibliothèques de l’UQAM. Québec a d’ailleurs déjà avisé l’UQAM qu’elle n’employait pas la bonne voie pour se plier aux exigences budgétaires. «La décision de fermer la bibliothèque n’est pas une décision acceptable, soutient Julie White, porte-parole du ministre de l’Éducation [de l’époque], François Blais. Les étudiants des universités doivent avoir accès à leurs bibliothèques, aux livres qui s’y trouvent et à un lieu pour faire leurs travaux.»

Les bibliothèques universitaires forcées de couper dans l’achat de livres


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En plus de subir des compressions budgétaires, les bibliothèques universitaires québécoises sont victimes de la hausse du coût des abonnements aux revues scientifiques électroniques cette année. Cette augmentation oscille entre 7 et 13%, dépendamment des établissements. Résultat : plusieurs bibliothèques ont dû se désabonner à des journaux, réduire les achats d’ouvrages et même procéder à des mises à pied.

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