8 mars : une attention médiatique profitable aux groupes de défense des femmes


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Il faut le souligner: cela faisait bien longtemps que les médias n’avaient pas autant couvert les raisons d’être du 8 mars. Cette couverture est due, de manière flagrante, aux campagnes contre le harcèlement et les violences faites aux femmes soulevées un peu partout dans le monde dans le sillage du mouvement #MoiAussi. Bien sûr l’attention médiatique tient en grande partie à l’aspect «glamour» des dénonciatrices initiales et des agresseurs, mais cela a donné une vitrine, un micro (et parfois même un peu d’argent!), aux femmes et aux groupes qui dénoncent depuis des années et partout dans le monde, cet état de fait.

Les femmes romperont-elles les menottes des travailleurs cambodgiens?


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Au Cambodge, la journée internationale de la femme se célébrera sous le signe du combat en faveur d’un salaire décent dans le secteur du textile. Le 8 Mars, les travailleuses et travailleurs se rendront au Freedom Park. Pour défendre leurs droits à un salaire décent ainsi que pour demander la libération et l’acquittement des 21 travailleurs emprisonnés  le 3 janvier dernier. Ce jour-là, l’armée cambodgienne avait ouvert le feu sur des travailleurs qui manifestaient pour demander une augmentation du salaire minimum de 80 à 160 dollars par mois dans le secteur de l’habillement, 3 dollars de plus que le minimum nécessaire pour subvenir aux besoins minimaux.

Journée internationale des femmes : des clés à la portée de toutes

À la CSN, la Journée internationale des femmes du 8 mars est une occasion de souligner les victoires des femmes et des travailleuses dans la société québécoise. Cette journée représente un moment de choix pour continuer la réflexion sur les différents problèmes vécus par les femmes au quotidien et sur la recherche de solutions. Le 8 mars, il faut se mobiliser pour la défense de leurs droits. Il faut prendre des mesures afin de poursuivre, voire d’accélérer la construction d’un projet de société plus égalitaire pour elles. La CSN profite de ce moment pour parler de leurs préoccupations, de leurs besoins et de leurs exigences, pour sortir de l’ombre celles qui vivent l’oppression au quotidien.