L’organisme Tache d’huile considère les récentes annonces comme des attaques directes à la santé et la sécurité des milieux de vie de la péninsule gaspésienne, donc à toutes les communautés qui l’habitent et qui l’habiteront. Le projet de TUGLIQ de port d’exportation comprenant une usine de liquéfaction de gaz naturel est rempli de mystères louches. Pourquoi cette coûteuse infrastructure? Les puits Bourque 1 & 2 seraient-ils suffisants pour la «justifier»? Combien de puits faudrait-il forer? Va-t-il falloir fracturer les puits, ou les stimuler d’une quelconque autre façon, pour atteindre un débit qui rentabilise l’infrastructure de Tugliq? Selon une étude de l’INRS, ce serait une possibilité si on compare à des structures géologiques analogues. De plus, il n’y aurait aucune évaluation environnementale alors qu’ailleurs le BAPE était mandaté et qu’il y avait opposition sur la base des risques encourus.