Depuis la démission du président du SPPTU, les débats et les sorties publiques se multiplient par rapport au dossier de la TÉLUQ, mais plus particulièrement en ce qui a trait au virage vers la privatisation adopté par certaines universités.
Ricardo Penafiel, chargé de cours au Département de sciences politiques, a publié un article sur la question pour la revue sociale et politique À babord dans lequel il dénonce ce qu’il perçoit comme l’inaction du SPPTU face aux nombreuses sorties et interpellations du STTTU dans le dossier de la privatisation de la Télé-université et l’illégalité de la création du statut de «professeur-e-s sous contrat» entériné par la convention collective signée par les professeur-e-s de la TÉLUQ.
C’est article a beaucoup fait réagir et suscité de nombreux débats sur les médias sociaux. Pour aller le consulter, cliquez sur le lien suivant : https://www.ababord.org/Suspension-du-DG-de-la-TELUQ-et-demission-du-president-du-SPPTU
Remettant en question de la même façon la légitimité de la création de ce statut d’emploi, Nicolas Harvey, vice-président aux communications du SCCC-UQO, a écrit une lettre d’opinion sur le sujet dans le Soleil disponible en cliquant sur le lien suivant : https://www.lesoleil.com/opinions/point-de-vue/teluq-a-qui-profite-le-crime-067c64d9751147a41ecac28d739afc23