Les exceptionnels grands froids qui frappent Montréal depuis la fin décembre ont amené une grande couverture médiatique de l’itinérance dans ce contexte, de même que de nombreux gestes d’entraide de la population. Il faut s’en réjouir, le vortex polaire rend encore plus dangereuse la vie dans la rue. L’itinérance constitue cependant un drame dans la vie d’un trop grand nombre de personnes 365 jours par année. Les ressources pour sans-abri opèrent le plus souvent à plein rendement cet hiver, c’est le cas depuis l’été dernier à Montréal. Ces ressources se retrouvent malheureusement souvent en situation de sur-occupation, les ressources d’hébergement pour femmes devant trop souvent refuser certaines d’entre elles, faute de places.
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Des mesures mises en place pour venir en aide aux itinérants.
Froid extrême : «On ne laisse personne dehors».
Des débordements fréquents dans les refuges.
Les refuges pour femmes manquent de ressources.
Ils restent dans la rue malgré la grande vague de froid.
Gatineau : Rien dans les mains, rien dans les poches.
Itinérants dans le métro : des organismes réclament moins d’amendes.
Itinérance : et si ça vous arrivait?
Une journée dans un refuge pour femmes.
Valérie Plante s’attaque à l’insalubrité des logements.
Québec : La Maison Lauberivière fait peau neuve et Le site d’injection supervisée dans Saint-Roch en 2018?
USA : Les villes renvoient les SDF d’où ils viennent, incluant à l’étranger.
Vague d’effroi: voyage au bout de l’hiver : Peter Kirby met l’itinérance au cœur d’une histoire de compassion mal placée.