« Le classement de Shanghaï et celui du Times Higher Education sont très populaires auprès des administrateurs universitaires ». À l’occasion de la sortie de son ouvrage intitulé Les dérives de l’évaluation de la recherche. Du bon usage de la bibliométrie, Yves Gingras, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en histoire et en sociologie des sciences à l’UQAM, explique que le monde de la recherche et de l’enseignement supérieur est agité depuis plusieurs années par une véritable « fièvre de l’évaluation ». Mais les classements des universités n’ont aucune valeur scientifique, selon lui.
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