L’association académique représentant les 170 universitaires à temps partiel de l’Université Algoma pourrait déclencher une grève dès le 3 mars si une entente n’intervient pas d’ici la fin du mois. Les pratiques équitables en matière de salaire, d’embauche et d’évaluation sont au cœur des négociations. «C’est une question d’équité. Le personnel à temps partiel de l’Université Algoma est le moins bien payé en Ontario et l’administration leur demande d’enseigner près de la moitié de tous les cours», indique le président de l’ACPPU, James Compton.