Circulation de rumeurs, de surnoms blessants, voire de photos relayées sans consentement: 12% des enseignants ayant participé à une étude dont Le Devoir a obtenu copie ont vécu au moins un épisode de cyberharcèlement entre 2015 et 2017. Un phénomène qui a pris de l’ampleur dans les dernières années avec les réseaux sociaux. L’étude menée par Stéphane Villeneuve, professeur de didactique à l’UQAM, et son équipe a récolté le témoignage de 753 enseignants, tous niveaux confondus au sein du réseau public — à temps plein ou à temps partiel —, afin de mesurer l’ampleur de ce problème encore peu documenté.
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