La chercheuse Marie-Ève Maillé n’aura pas à révéler l’identité de ses sources


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La chercheuse de l’UQAM Marie-Ève Maillé, qu’une entreprise poursuivait pour la forcer à révéler l’identité des participants à son étude, a finalement eu gain de cause devant la Cour supérieure du Québec. Le tribunal indique dans son jugement rejeter la poursuite qui demande la «permission d’interroger Mme Marie-Ève Maillé» et la transmission de «documents préalables à cet interrogatoire». Il estime que la demande de rétraction de la chercheuse est recevable, puisqu’elle «n’était pas représentée à l’audience» et que le jugement la forcerait à rompre ses engagements. Le juge Marc St-Pierre a également indiqué que le privilège de confidentialité, qui a été reconnu pour les policiers en droit criminel et pour les journalistes en droit civil au Québec, s’appliquait dans le cas de Mme Maillé.

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La Direction de l’UQAM se réjouit du jugement.