Une chercheuse de l’UQAM toujours en cour pour protéger ses sources


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Marie-Ève Maillé, une chercheuse de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), devra attendre encore plusieurs semaines avant de savoir si la décision qui l’oblige à divulguer certaines données confidentielles à propos d’une recherche qu’elle a réalisée sera infirmée. Le juge Marc St-Pierre a pris la cause en délibéré, mercredi, au palais de justice de Victoriaville, où la chercheuse de l’UQAM tentait de le convaincre de renverser la décision qui l’obligerait à dévoiler les sources de son étude Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec, conduite dans le cadre de son doctorat en communication sur les éoliennes. Au total, 93 participants ont été interrogés dans le cadre de son doctorat déposé en 2012. Ils ont indiqué à la chercheuse s’ils étaient «pour ou contre le projet» éolien.

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