Notre présidente de la CSN a récemment rédigé un texte paru dans Le Devoir du 7 février.
Elle écrit qu’il « faut revoir l’organisation du réseau et s’attaquer en priorité à la situation des services aux aînés et des services de protection de la jeunesse. Les CHSLD et les centres jeunesse se trouvent noyés dans les mégastructures que sont les CISSS et les CIUSSS, au sein desquels les centres hospitaliers sont des poids lourds. »
Plusieurs syndicats du domaine de la santé au Québec se sont unis pour réclamer haut et fort le versement des primes monétaires, comme entendu avec le gouvernement du Québec. 80 % des personnes qui attendent ces versements sont des femmes.
À lire dans La Presse, l’article de Fanny Lévesque, publié le 3 février dernier et celui de Marie-Michèle Sioui, paru dans Le Devoir du 15 février.
On peut également lire sur le site Internet de la Fédération des infirmières du Québec que « La Fédération de la Santé et des services sociaux (FSSS-CSN), la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), le Syndicat canadien de la fonction publique (CPAS-SCFP), le Syndicat québécois des employées et employés de service (SQEES-FTQ), la Fédération de la santé du Québec (FSQ-CSQ), l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS), la Fédération des professionnèles (FP-CSN) et le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) déplorent que le gouvernement n’honore pas sa signature et qu’il repousse encore son échéancier dans le versement des sommes dues à des milliers de travailleuses et travailleurs de la santé et des services sociaux.
Bien que la profession de sages-femmes ne soit pas encore reconnue à sa juste valeur, une revendication de leur groupe vient de trouver une issue victorieuse auprès du gouvernement du Québec. On peut lire un bref article à ce sujet sur le site Internet de la CSN.
Il est rarissime que l’on voit une lettre commune signée par quatre leaders des grandes centrales syndicales du Québec et trois ministres du gouvernement du Québec. C’est pourtant arrivé alors que Daniel Boyer, président de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ); Caroline Senneville, présidente de la Confédération des syndicats nationaux (CSN); Luc Vachon, président de la Centrale des syndicats démocratiques (CSD); Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ); Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale; Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux et Sonia LeBel, ministre responsable de l’Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor ont signé un texte collectif appelant la population à relever ses manches pour se faire vacciner afin de lutter contre la pandémie.
Une récente et très bonne vidéo vient tout juste d’être mise en ligne par notre fédération nationale, la FNEEQ-CSN. Elle est brève et percutante et concerne la fragile et inquiétante situation de la rentrée de l’hiver 2022 à laquelle font face les enseignantes et enseignants des niveaux primaire, secondaire, collégial et universitaire. Pour voir toutes les vidéos de la FNEEQ, c’est par ici : vimeo.com/fneeq.
Le calendrier 2022 de la CSN, qui souligne le centenaire de notre centrale, rassemble 48 des plus belles affiches de son histoire, illustrant autant de luttes et de victoires gagnées au fil du temps. En vente au modeste prix de 6,85 $, sur la boutique CSN.
Plusieurs travailleuses et travailleurs à contrat dans les disciplines des arts vivants, souvent en travail autonome, en arrachent particulièrement avec la pandémie. Plusieurs camarades de syndicats et d’associations professionnelles vivent donc des situations difficiles. On vous convie à lire cet article de Catherine Lalonde, paru dans l’édition du 13 janvier dernier dans Le Devoir, sous le titre « Hors les écrans, forte baisse des revenus des artistes », et aussi cet article d’Étienne Paré, paru le 22 janvier, dans le même journal.
Le Conseil central du Montréal métropolitain nous invite à participer à une manifestation lancée à l’initiative du Syndicat des travailleurs et des travailleuses du YMCA du Parc-CSN. On peut trouver, par ce document PDF les positions qui seront portées lors de cette manifestation. On se donne rendez-vous ce samedi 5 février à 13 h, au parc La Fontaine, à l’obélisque de la Place-Charles-de-Gaulle du côté nord de la rue Sherbrooke, face à l’hôpital Notre-Dame.
Voici un message de notre Conseil central de la CSN qui nous invite à répondre à un sondage sur le racisme en milieu de travail et dont la période de réponse est prolongée jusqu’au 15 janvier 2022. Si vous n’avez pas eu l’occasion de répondre au sondage, nous vous encourageons à le faire.
Lors de l’assemblée générale du Conseil central Montréal métropolitain (CCMM–CSN) du 27 janvier 2021, les syndicats affiliés au CCMM–CSN ont adopté un plan d’action contre le racisme systémique.
Un des objectifs du plan d’action est d’assurer la représentation des personnes issues des groupes racisés, de l’immigration et des personnes autochtones dans les structures et instances syndicales, à égale proportion de leur présence sur le marché du travail.
Il y a grève actuellement au Royaume-Uni dans plus de 50 syndicats d’universités et de collèges affiliés à la University and College Union (UCU) répartis dans les quatre pays. La grève touche plusieurs corps d’emploi dont les chargées, chargés de cours (lecturers) et les professeures, professeurs.
La UCU voudrait obtenir des appuis internationaux de la part des organisations syndicales. Elle les invite donc à faire parvenir des messages de solidarité à la cause des grévistes sur leurs quatre enjeux, dont les salaires, la précarisation des emplois, la charge de travail ainsi que l’iniquité salariale selon le genre ou l’origine ethnique.
Le SPPEUQAM est présent au Conseil fédéral de la FNEEQ avec une délégation d’une dizaine de personnes. C’est la première fois depuis deux ans que les déléguées et délégués des syndicats membres de la FNEEQ se réunissent en présence, ce qui est très motivant pour notre action syndicale et pour tisser des liens avec plusieurs de nos collègues. On peut voir et écouter le discours d’ouverture de ce conseil fédéral livré par Caroline Quesnel, présidente de notre fédération nationale en cliquant sur ce lien viméo.
Ce 2 décembre, la FNEEQ vient de publier un communiqué signifiant que « La tournée de consultations des 45 syndicats (cégep) affiliés à la FNEEQ-CSN portant sur l’entente de la table centrale et sur l’entente de la table sectorielle s’est terminée le 19 novembre dernier. Au terme de cette tournée, l’entente globale a été adoptée à la double majorité (majorité des syndicats et majorité des membres votants), conformément aux statuts et règlements en vigueur. »
Le gouvernement Legault se fait une spécialité de dénigrer les syndicats et de les rendre coupables de plusieurs problèmes de la société québécoise, dont le recrutement dans le secteur de la santé. Quelques textes ont récemment été écrits à ce sujet : un article de Marie-Michèle Sioui, paru dans Le Devoir du 9 novembre dernier, la chronique d’Yves Boisvert, parue dans La Presse, le lendemain 10 novembre, où il écrit que « Le ministre de la Santé, homme patient s’il en fut jamais, va un peu vite en affaires en affirmant que l’avidité des délégués syndicaux explique le problème de recrutement des nouvelles infirmières » et la judicieuse chronique de Michel David, « Maudits syndicats », parue deux jours plus tard, toujours dans Le Devoir.
Le Comité école et société de notre fédération nationale (FNEEQ-CSN) a récemment rendu publiques ses pistes de réflexion sur l’enseignement à distance (EAD) avec sa chronique 93, « EAD à toutes les sauces : est-ce vraiment la recette gagnante? ». C’est à lire par ici.
Cette année, le 22 novembre sera le théâtre d’un événement spécial. Pourquoi? Avec le rapport « L’université québécoise du futur – Tendances, enjeux, pistes d’action et recommandations » remis à la ministre McCann en février dernier par le scientifique en chef, Rémi Quirion, les chargées et chargés de cours (et professeures, professeurs enseignants) s’interrogent sur ce que l’avenir leur réserve. Qu’est-ce qui nous caractérise aujourd’hui? Quels sont nos défis actuels? Comment nous inscrivons-nous dans ce futur universitaire? Quelle place occuperons-nous?
Pour répondre à ces questions et discuter des enjeux du futur, notre fédération nationale, la FNEEQ a organisé, en collaboration avec des collègues chargées et chargés de cours d’autres centrales syndicales, un « Forum sur les enseignantes et enseignants universitaires contractuels », dont voici la programmation.
La FNEEQ sera présente et vous invite à rejoindre les milliers de travailleuses et de travailleurs qui marcheront le samedi 6 novembre prochain partout dans le monde pour dénoncer le manque d’ambition climatique de nos gouvernements et réclamer des mesures suffisantes pour atteindre la cible de réduction des gaz à effet de serre de l’Accord de Paris. Événement familial et pacifique organisé dans le cadre de la COP26, la marche québécoise s’inscrit dans la foulée de près de 75 manifestations et actions qui auront lieu à travers le monde!
Point de rassemblement à midi: Monument George-Étienne Cartier, au pied du parc du Mont-Royal (surveillez les drapeaux de la FNEEQ) Partagez l’événement sur Facebook : https://www.facebook.com/events/1221086698372909/?ref=newsfeed
À voir, à voir, à voir! Un très bon documentaire, intitulé « Les unions qu’ossa donne », réalisé par Hélène Choquette, sur les 100 ans de la CSN. On y apprend que la révolution tranquille québécoise a, selon notre collègue professeur enseignant au Département d’études littéraires, Donald Cuccioletta, véritablement pris naissance avec la mobilisation nationale lors de la grève de l’amiante en 1949, et non par l’élection de Jean Lesage en 1962, ou précédemment lors de 100 jours de Paul Sauvé, qui se démarquait alors de son « cheuf » Maurice Duplessis. On y apprend aussi que la CSN a été très active dans les grands mouvements sociaux pour une plus grande justice sociale, entre autres, avec les revendications féministes dont les allumettières de Hull sont les précurseures.
Présentée par Sophie Potvin et Bertrand Guibord, cette conférence du 28 octobre, de 14 h à 15 h 30, vise à mieux faire connaître la CSN en relatant sa riche histoire et surtout en mettant en lumière l’importance des dossiers de la solidarité internationale et de la défense des droits des travailleuses et travailleurs, en particulier des plus précarisé-es d’entre nous. La conférence présentera aussi les dossiers prioritaires de l’organisation, soit, l’environnement, la santé-sécurité au travail, la condition féminine, la défense des droits des personnes LGBT+ et des personnes racisées ou issues de l’immigration.
Le CCMM-CSN se fait encore et toujours porteur de causes qui dépassent le cadre des milieux de travail et concernent la société dans son ensemble, sans jamais laisser de côté sa mission première d’appui aux syndicats en lutte pour les droits des travailleuses et travailleurs ainsi que l’amélioration de leurs conditions de travail.
Mis sur pied en 1985 et renommé en 2001 « Camp Vol d’été Leucan-CSN », suite au partenariat établi avec la Confédération des syndicats nationaux (CSN) qui le finance par plusieurs activités de collecte de fonds, ce camp est le seul destiné spécifiquement aux enfants atteints de cancer et leur famille. Lors de la dernière assemblée générale du SPPEUQAM, le 29 septembre, les membres ont d’ailleurs voté un don de 1 000 $ pour le Camp Vol d’été Leucan-CSN. On peut accéder à une vidéo sur le camp par ici ou par là.
Leucan nous informe que : « Le camp est adapté à la réalité et aux besoins des enfants en traitement grâce à la présence d’une équipe médicale disponible 24 heures sur 24 durant toute la durée du camp, qui peut administrer les traitements et les soins oncologiques aux enfants.
Deux textes parus dans Le Devoir le 24 septembre 2021 soulignaient le 100e anniversaire de la CSN. Le 1er texte est rédigé par Jean Lortie qui, après 40 ans de militance, prenait sa retraite le 24 septembre alors qu’il occupait le poste de secrétaire général. Merci Jean pour ce superbe texte et surtout pour ton implication vers une société plus juste!
Le 2e texte, signé par le journaliste Jean-François Nadeau, trace un survol passionnant du parcours de notre centrale syndicale.
La Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS–CSN) demande une rencontre d’urgence avec le ministre de la Santé, Christian Dubé, pour discuter de la pénurie de personnel et du projet de loi 59 sur la santé et sécurité du travail (SST).
À ce sujet, on peut lire le communiqué de la CSN diffusé le 21 septembre.
Huit syndicats et une association du milieu des arts et de la culture ont demandé au gouvernement du Québec, le 16 septembre dernier, de déposer dès l’automne le projet de réforme tant attendue de la Loi sur le statut de l’artiste. Pour ces groupes, « il est impératif de pallier les brèches de la loi actuelle qui privent ceux-ci de droits fondamentaux en matière de travail pourtant accessibles à l’ensemble de la population du Québec. »
Représentant plus de 26 000 travailleuses et travailleurs de tous les secteurs confondus à travers le Québec, les neuf associations œuvrant dans le milieu des arts et de la culture sont les suivantes :
APASQ Association des professionnels des arts de la scène du Québec AQAD Association québécoise des autrices et des auteurs dramatiques ARRQ Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec FNCC–CSN Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC-CSN) GMMQ Guilde des musiciens et musiciennes du Québec (GMMQ) SARTEC Société des auteurs de radio, télévision et cinéma TRACE Travailleuses et travailleurs regroupés des arts, de la culture et de l’événementiel UDA Union des artistes UNEQ Union des écrivaines et des écrivains québécois
Notre fédération nationale, la FNEEQ-CSN a fait souvent parler d’elle, et de nous, par ses sorties publiques ces dernières semaines. En cliquant sur ces liens on peut accéder au contenu de certaines de ces sorties sur la liberté académique, la rentrée actuelle dans les cégeps et les universités et les élections fédérales. On peut évidemment aussi fréquenter son site Internet, ses pages Twitter et Facebook!
Comme annoncé dans l’édition du 17 juin dernier de l’infolettre, c’était, cinq jours plus tard, le lancement du volet montréalais de l’exposition sur les luttes des travailleuses et des travailleurs intitulée « De la scie à l’ordi », qui couvre 100 ans de l’histoire de la CSN et des moments charnières de l’histoire du Québec. Pour avoir assisté au lancement et vu l’exposition de Montréal, je peux vous dire que c’est vraiment une exposition très bien réalisée. Les photos sont superbes et très bien documentées!
Je me promets de voir quelques autres volets de cette exposition de photos en plein air dans une des 12 autres villes, cet été.
La cheffe d’antenne au Service des nouvelles de Radio-Canada a quitté son travail dans des conditions nébuleuses et son syndicat la défend. On peut lire l’article du Devoir, signé Amélie Pineda, ce 19 août, qui fait état de l’appui du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Radio-Canada qui a « confirmé qu’un grief a été déposé concernant la sanction imposée à Pascale Nadeau. « Ce que l’employeur allègue pour justifier la sanction ne tient pas la route, c’est exagéré pour quelqu’un qui n’avait aucune tache à son dossier », mentionne le président du syndicat, Pierre Tousignant. Selon ses informations, Mme Nadeau n’a jamais été avisée de ce qu’elle a pu faire d’offensant ou blessant.
