Vernissage réussi pour l’exposition Prendre lieux qui implique neuf chargées et chargés de cours


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L’exposition Prendre lieux présente à l’Écomusée du fier monde jusqu’au 26 février une série d’œuvres en dyade créées par 18 artistes, chargés de cours et étudiants de l’École des arts visuels et médiatiques (EAVM). Lors du vernissage de l’exposition, Bernard Tremblay, président du Conseil d’administration de l’Écomusée du fier monde, Jean-Christian Pleau, doyen de la Faculté des arts, Éric Raymond, directeur de l’École des arts visuels et médiatiques, ainsi que Patricia Gauvin et Dominique Sarrazin, les deux artistes chargées de cours qui ont lancé le projet ont tour à tour pris la parole. Ils ont ensuite été rejoints par les 18 artistes composant les dyades.

L’exposition Bêtes d’affiches créée par Marc H. Choko à la Galerie du musée Villa Montebello de Trouville-sur-Mer, en France


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L’exposition Bêtes d’affiches créée par Marc H. Choko, chargé de cours à l’École de design, poursuit son chemin et est présentée jusqu’au 8 mai à la Galerie du musée Villa Montebello de Trouville-sur-Mer, en France. Cette nouvelle version compte 55 œuvres provenant d’une dizaine de pays, qui mettent en vedette des animaux vendeurs de produits divers. Elle illustre comment nos amies les bêtes et leur caractère sont exploités de multiples façons (humour, surprise, empathie) par les publicitaires pour attirer l’attention du public et vendre les produits de consommation courante qui nous entourent, et ce, depuis une centaine d’années, peut-on lire sur ActualitésUQAM.

Éric Duchemin organise la 9e École d’été sur l’agriculture urbaine de l’UQAM


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La 9e École d’été sur l’agriculture urbaine de l’UQAM, organisée par le Laboratoire d’agriculture urbaine (AU/LAB) en collaboration avec l’Institut des sciences de l’environnement du l’UQAM (ISE), se tiendra cet été à Montréal du 14 au 18 août. Le thème retenu cette année est le rôle de l’agriculture urbaine dans la réappropriation par le citadin de l’espace et de l’agriculture en ville. «Nous avons divisé le thème en trois volets», explique Éric Duchemin, chargé de cours à l’Institut des sciences de l’environnement et co-coordonnateur de l’événement.

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L’amour au temps des réseaux sociaux : mise en garde de Maude Lecompte


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Même si les relations de couple qui ont débuté sur les réseaux sociaux peuvent se terminer en conte de fées, il y a un risque de désillusion lors du premier rendez-vous, estime Maude Lecompte, chargée de cours en Sexologie. «Les échanges textuels qui précèdent la rencontre peuvent permettre de mieux connaître l’autre. Ils peuvent aussi être à l’origine d’une déception. Les échanges peuvent être trompeurs ou embellir la réalité», met en garde Mme Lecompte. D’après elle, les célibataires se tournent vers les réseaux sociaux «principalement pour la simplicité des choses».

Lire la suite du texte du journal Le Reflet.

Patrick Daigle amène ses étudiantes et étudiants au mont Mansfield, au Vermont


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Vingt-six étudiants au baccalauréat d’intervention en activité physique ont participé à un stage au mont Mansfield, au Vermont, dans le cadre du cours Enseigner l’éducation physique et la santé en milieu de plein air. En équipe, les étudiants devaient planifier les activités, le matériel, les déplacements et la nourriture durant un week-end de trois jours en contexte de plein air. Ce cours, qui culmine par le stage au mont Mandsfield, est offert depuis quatre ans au Département des sciences de l’activité physique. «C’est la première fois que ce cours se donne en team teaching», souligne le professeur Tegwen Gadais, qui enseigne avec le chargé de cours Patrick Daigle.

Elsa Acem publie un article sur une pratique inquiétante du système de santé


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Chargée de cours au Département des sciences juridiques, Elsa Acem a publié récemment un article dans le McGill Journal of Law and Health qui aborde un chapitre méconnu de l’histoire du système de santé québécois. Sa recherche porte sur la régulation, depuis les années 1970, de la réutilisation du matériel médical à usage unique – cathéters, dialyseurs, cardiostimulateurs –, une pratique controversée en raison des risques de transmission d’infections qu’elle comporte.

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Décès d’Hassan El Ibrami


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Hassan El Ibrami est décédé le 2 février, à l’âge de 49 ans. M. El Ibrami a été chargé de cours au Département de finance et au Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale avant de devenir professeur au Département des sciences comptables en juin 2010. Le SCCUQ offre ses plus sincères condoléances à la famille, aux amis et aux collègues de M. El Ibrami.

Style automobile : les errances japonaises expliquées par Pascal Boissé


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Lignes étriquées, phares biseautés, feux aux formes tarabiscotées, excroissances inattendues. Poussés par l’insatiable désir de se démarquer, plusieurs designers japonais ont redoublé d’originalité au cours des dernières années. Avec un résultat qui laisse pour le moins songeur. «Dans les années 90, on demandait aux designers de faire de belles voitures. On la dessinait et l’on y fixait un badge. C’était plus intuitif. Aujourd’hui, on est dans l’ère du marketing de marque; chaque compagnie doit se positionner pour être différente, reconnaissable, unique», explique le chargé de cours en design d’équipement de transport de l’École de design Pascal Boissé, à propos des errances du design automobile japonais.

La réglementation, les taxes et la démographie font grimper le prix des billets d’avion pour un vol régional explique Mohamed Reda Khomsi


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Les billets d’avion dans les aéroports régionaux coûtent chers, plus chers parfois que pour aller à l’étranger. La réglementation, les taxes et la démographie font partie des facteurs qui influencent les prix explique le chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques Mohamed Reda Khomsi à l’antenne de Radio-Canada.

Le Québec : terre d’accueil pour la communauté musulmane depuis plus d’un siècle, explique Frédéric Castel


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L’attentat contre la mosquée de Québec a mis en lumière le fait que les Québécois ne connaissaient pas bien la communauté musulmane, qu’ils côtoient pourtant depuis plus d’un siècle. Aujourd’hui, les immigrants musulmans sont près de 300 000 au Québec. Depuis la fin des années 1990, leur nombre a commencé à augmenter de façon exponentielle. «Le Canada a toujours eu une image d’Eldorado et de paix pour les pays extérieurs. Québec était la version franco­phone. C’était une terre d’ac­cueil réputée pour son plein emploi et son ascension sociale, contrai­rement à l’Europe et aux États-Unis, où les musulmans n’étaient pas tellement les bien­venus», explique le chargé de cours en Sciences des religions Frédéric Castel au Journal de Montréal.

Élisabeth Vallet donne un petit cours Décret 101 à l’émission Dessine-moi un dimanche


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La chargée de cours Élisabeth Vallet donne un petit cours Décret 101 à Franco Nuovo dans le cadre de sa chronique américaine à l’émission Dessine-moi un dimanche à l’antenne de Radio-Canada. Le président ne peut que prendre des mesures qui vont permettre l’application de lois qui ont déjà été votées par le Congrès.

Décret sur l’immigration signé par Donald Trump : la guerre juridique est enclenchée, selon Donald Cuccioletta


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Donald Cuccioletta, chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM, commente à l’antenne de Radio-Canada la guerre juridique enclenchée par le décret sur l’immigration signé par le président américain Donald Trump. Une bataille entre l’administration Trump et la justice américaine représentative de la constitution américaine et de la balance entre les trois branches du gouvernement – le Congrès, le président et les cours de justice – voulue par le peuple américain.

Mélissa Mongiat figure parmi les 21 portraits de Montréalais visionnaires


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Neuf diplômés de l’UQAM, dont la chargée de cours de l’École de design Mélissa Mongiat, figurent parmi les 21 portraits de Montréalais visionnaires photographiés par Cindy Boyce, dans le cadre du projet mondial Inside Out, créé en 2011 par le célèbre artiste de rue JR, selon Actualités UQAM. Ce projet est mené par le Musée McCord en collaboration avec Publicité sauvage à l’occasion de l’exposition Notman, photographe visionnaire. Les entrepreneurs et idéateurs sélectionnés, qui invitent à sortir du cadre pour faire évoluer les façons de faire, sont issus des domaines des arts et de la mode, du design et de l’urbanisme, du milieu communautaire et sociétal ou encore des nouvelles technologies.

Guillaume Cliche-Rivard et Marc-André Dubuc ont supervisé les étudiants qui ont participé à l’événement annuel Quebec Model United Nations


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Près de 400 étudiants, provenant d’une vingtaine de cégeps et d’universités, ont participé le samedi 4 février à l’événement annuel Quebec Model United Nations qui se déroulait cette année au Pavillon Sherbrooke (SH) de l’UQAM, selon Actualités UQAM. Cet exercice permet aux étudiants québécois de se préparer à la Simulation des Nations Unies à New York (National Model United Nations – NMUN), qui aura lieu du 19 au 23 mars (conférence A) et du 9 au 13 avril (conférence B) prochains. L’événement, sans remise de prix, concentre en une journée intensive le travail de toute une semaine (adoptions de résolutions, etc.)

Anne-Sophie Letellier publie L’éducation aux médias à l’ère numérique: entre fondations et renouvellement


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Sous la direction d’Anne-Sophie Letellier, chargée de cours à l’École des médias et de Normand Landry, professeur à la TÉLUQ, L’éducation aux médias à l’ère numérique: entre fondations et renouvellement jette les bases d’une approche critique et répond aux problèmes concernant notamment la vie privée, la liberté d’expression, la sexualité, la violence et les représentations médiatiques. Une maîtrise minimale des nouveaux outils de communication est désormais une condition à l’insertion sociale et économique. L’accès aux soins de santé, à l’éducation, à l’information, aux loisirs et à l’emploi, par exemple, passe par la capacité à utiliser ces outils. On appelle cela la «littératie numérique», soit la capacité de comprendre, d’évaluer et de produire des «textes médiatiques» variés, présentés dans une multitude de formats, que l’on peut consulter et modifier grâce à de multiples dispositifs.

Il est difficile de préserver les langues autochtones au Canada, selon Philippe Charland


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Le cri, l’anichinabé, l’ojibwé, le mohawk, l’innu, l’abénaquis : il s’agit d’autant de langues en voie de disparition, au grand dam de leurs locuteurs, les Premières Nations du Canada. Au pays, 60 langues autochtones sont recensées, et elles sont toutes menacées, sauf l’inuktitut, selon Patrimoine canadien et l’UNESCO. Philippe Charland, chargé de cours en Histoire et enseignant de la langue abénaquise à l’organisme Montréal autochtone, souligne à quel point il peut être difficile d’enseigner une langue pour laquelle il existe très peu de traces écrites. «Ce n’est pas facile de se renseigner. Il faut puiser dans des ouvrages anciens. […] Les Jésuites ont fait différents dictionnaires en abénaquis, mais la langue a évoluée depuis», explique M. 

«Il faut respecter le rapport du BAPE», indique Jean-François Lefebvre


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Les autorités gouvernementales ont rejeté cette semaine du revers de la main les conclusions du rapport du Bureau des audiences publiques sur l’environnement (BAPE) sur le projet de Réseau électrique métropolitain (REM). Celles-ci s’avèrent très pertinentes, croit le chargé de cours en urbanisme Jean-François Lefebvre. «Il faut respecter le rapport du BAPE, indique celui qui a analysé de près les détails du projet de REM, lors d’une entrevue à Métro. Si ça dit que le projet ne peut pas être accepté dans l’état qu’il est, c’est que la Caisse [de dépôt et placement du Québec] a fait un travail bâclé basé sur des mauvais préceptes d’urbanisme.»

Élisabeth Vallet répertorie de plus en plus de murs dans le monde et recommande la trilogie March pour comprendre ce qui se passe aux États-Unis


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La volonté de stopper l’immigration illégale conduit à l’édification de murs de plus en plus nombreux à travers le monde, à l’instar de celui que veut construire le président américain Donald Trump entre les États-Unis et le Mexique. Au moment de la chute du mur de Berlin, il y a un quart de siècle,on comptait 16 murs défendant des frontières. En 2016, la chargée de cours Élisabeth Vallet, de l’Université du Québec à Montréal, en répertoriait 66, construits pour dissuader les migrants, mais aussi pour des raisons sécuritaires, a-t-elle expliqué à TVANouvelles.

«C’est vraiment une trilogie à lire pour comprendre ce qui se passe aux États-Unis.»

Yann Breault confirme que l’Église orthodoxe russe a été un acteur important dans la dépénalisation de la violence domestique en Russie


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Au lendemain d’un vote massif en faveur de la dépénalisation de la violence domestique à la Douma, le spécialiste de la Russie Yann Breault confirme que l’Église orthodoxe russe a été un acteur important dans la promotion de ce projet de loi controversé. Les liens entre la Russie et l’Église orthodoxe sont si étroits qu’on peut parler de symbiose, affirme-t-il au micro de Michel C. Auger. Et cette relation est un élément-clé dans la construction identitaire d’une Russie patriotique et conservatrice que le président Vladimir Poutine met de l’avant.

Neuf chargées et chargés de cours parrainent neuf artistes émergents à l’Écomusée du fier monde


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Neuf artistes, chargées et chargés de cours de l’École des arts visuels et médiatiques, parrainent neuf artistes émergents, étudiants de l’UQAM. Par leurs créations pluridisciplinaires, ils vous proposent une vision artistique du mandat de l’Écomusée du fier monde, musée d’histoire et musée citoyen. L’exposition Prendre lieux est à l’affiche du 16 au 26 février 2017, à l’Écomusée du fier monde, 2050, rue Amherst. Chacune des neuf dyades d’artistes, composée d’un chargé de cours et d’un étudiant, s’est vue confier un espace leur permettant de Prendre lieux, comme nous dirions prendre place ou embrasser l’espace de l’Écomusée. Les neuf chargées et chargés de cours sont Dominique Sarrazin, Josée Pellerin, Jean Marois, Suzan Vachon, Patricia Gauvin, Marie-France Giraudon, Katherine Rochon, Anne C.

Violences sexuelles à l’université : des témoignages qui corroborent les faits


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«Un professeur, seul avec moi pendant qu’il utilisait des équipements dans mon milieu de travail, m’a fait des attouchements et à mon refus, m’a menacée de me faire perdre mon emploi.» En fait, ce témoignage n’est qu’un de ceux qui émaillent le rapport de l’enquête ESSIMU (Enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire) dont la chargée de cours Sandrine Ricci est une des auteures, qui conclut qu’un peu plus d’une personne sur trois travaillant ou étudiant dans l’une des six universités québécoises étudiées affirme avoir déjà subi une forme de violence sexuelle. On retrouve dans le document plusieurs extraits des témoignages des 9284 répondants ayant accepté de remplir le questionnaire en ligne qui a permis aux chercheuses d’arriver à leurs conclusions.

Robert Pouliot commente les nouvelles règles encadrant les frais de placements


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Les Canadiens paient des frais parmi les plus élevés dans le monde pour leurs placements, selon une étude publiée en 2015 par la firme Morningstar. Pourtant, plusieurs épargnants ne savent même pas qu’ils déboursent ces frais, prélevés à même leurs revenus d’investissements, ce qui a un impact sur leurs rendements et, au bout du compte, sur leurs revenus de retraite. Les nouvelles règles vont les aider à décider si leur conseiller leur en donne pour leur argent : les services reçus valent-ils les frais payés ? «En cas de perte, les investisseurs se rendront peut-être compte que ce n’est pas la faute du rendement sur leurs placements, mais à cause des frais élevés», commente le chargé de cours au Département de finance Robert Pouliot, pour La Presse.