Taïka Baillargeon et Alexandre Bédard, gagnants du concours De l’idée à l’innovation


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Les gagnants du concours De l’idée à l’innovation ont été dévoilés en conclusion de la Semaine de la recherche et de la création.

La première édition de la Semaine de la recherche et de la création, qui avait lieu à l’UQAM du 19 au 21 mars dernier, s’est conclue par le dévoilement des gagnants du concours De l’idée à l’innovation, en présence de la vice-rectrice à la Recherche, à la création et à la diffusion, Catherine Mounier, et de nombreux invités. « Ce concours avait pour but de faire émerger de nouvelles idées, de favoriser des collaborations interfacultaires et de valoriser les contributions de la recherche universitaire à la société », a rappelé la vice-rectrice.

De l’idée à l’innovation : Taïka Baillargeon et France Simard, finalistes


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Le Vice-rectorat à la recherche, à la création et à la diffusion tiendra une première Semaine de la recherche et de la création du 19 au 21 mars. Cet événement a pour but de permettre aux chercheurs et aux créateurs de se rencontrer, d’échanger et de partager leurs expériences. De nombreuses activités sont prévues au programme: atelier sur la gestion des données de recherche, rendez-vous des chaires, présentation de La Conversation Canada, rendez-vous des centres, rôle des étudiants dans les projets partenariaux. La Semaine se terminera avec le cocktail de la vice-rectrice, où seront dévoilés les gagnants du concours De l’idée à l’innovation.

Las Vegas, entre effervescence et déchéance immobilière : Taika Baillargeon se prononce


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Les traces du marasme économique sont encore bien visibles à Las Vegas, 10 ans après la crise financière qui a ébranlé les États-Unis, puis l’économie du monde entier l’année suivante. Entre démolition et reconstruction, les possibilités existent bel et bien. Mais encore faut-il que l’investissement en vaille la chandelle. «Financièrement parlant, les solutions qui existent ne sont pas toujours adéquates, explique la chargée de cours au Département de géographie de l’UQAM, Taika Baillargeon, dans un texte de Radio-Canada. Même techniquement parlant, si l’attente est trop longue, souvent, les technologies et les matériaux de construction ont changé.»

Taïka Baillargeon participe au dossier de la revue Frontières sur les ruines urbaines


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Les sociétés postindustrielles produisent de plus en plus de cités fantômes: villes, quartiers ou rues désertés par leurs habitants lors d’une crise économique, d’un accident nucléaire, d’une catastrophe naturelle ou à l’occasion d’un projet industriel avorté. Ces zones urbaines, souvent représentées dans leur matérialité brute – décombres, ruines et objets du quotidien désertés de toute âme –, interrogent le devenir de nos sociétés ébranlées par les crises économiques, écologiques et humanitaires. Ce questionnement est au cœur de la dernière livraison (vol. 28, numéro 1) de la revue institutionnelle Frontières en études sur la mort, laquelle propose un dossier intitulé «Ruines urbaines: mémoire, explorations, représentations» auquel a participé la chargée de cours en géographie Taïka Baillargeon, peut-on lire sur Actualités UQAM.