« Les cônes sont partout, mais on ne connaît pas véritablement leur nombre. Le ministère des Transports (MTQ) et la Ville de Montréal ignorent jusqu’ici combien de cylindres orangés se trouvent dans les rues de la métropole, la majorité relevant des entrepreneurs privés embauchés pour réaliser les chantiers ». Pour plusieurs, dont l’expert en planification des transports Pierre Barrieau, chargé de cours au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM, « la situation illustre que les autorités n’utilisent pas toutes les technologies à leur disposition » pour répertorier les cônes sur le terrain. Quelques articles du journaliste Henri Ouellette Vézina de La Presse, ont récemment été publié à ce sujet, dont celui paru dans l’édition du 31 janvier et que l’on peut consulter par ce clic..