Alors que se termine la campagne électorale, le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) a tenu à noter l’importance accordée à la lutte à l’itinérance par les deux principaux partis. Non seulement Denis Coderre et Valérie Plante étaient de la marche de la Nuit des sans-abri, mais ils ont tous deux, avec leur parti respectif, rendu publics des engagements précis. En début de campagne, le RAPSIM avait tenu un point de presse pour souligner qu’ « en itinérance, beaucoup reste à faire. » Le regroupement avait alors insisté sur la nécessité d’une approche globale dans la lutte à l’itinérance, avec de fortes actions à mener pour le développement de logements sociaux et la sauvegarde des maisons de chambres, ainsi que pour contrer le profilage social. «Les engagements électoraux pris par les différents partis permettraient de faire une différence dans la lutte contre l’itinérance, mais ils devront se concrétiser, a souligné Pierre Gaudreau, le directeur du RAPSIM.
Site d’injection supervisée près d’écoles : un dialogue de sourds.
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Des conditions de détention toxiques.