Nous les croisons sans les voir dans les rues de Montréal. Ils font le tri de nos rebuts, récurent les toilettes de nos cliniques médicales, passent l’aspirateur, la nuit, dans les couloirs de nos bureaux. Ils sont des dizaines de milliers, mais ils sont invisibles. Sans eux, l’économie de la ville subirait un dur coup, puisque ces travailleurs de l’ombre occupent les emplois dont personne ne veut. Sans le moindre filet de sécurité. Bienvenue dans le monde occulte des sans-papiers de Montréal.
Lire la suite du texte de La Presse.