Les coupes successives imposées par le gouvernement québécois au réseau universitaire depuis 2012 compromettent sa capacité de contribuer pleinement au développement économique, social et culturel du Québec. L’ensemble de la communauté universitaire, à l’exception des membres de la haute direction, peut témoigner des effets asphyxiants des compressions budgétaires cumulées ayant présidé à la dégradation des conditions de travail et d’étude qui menace la vitalité des universités, affirme Jean-Marie Lafortune, président de la Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université.
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