Les jeunes qui s’affairent dans une classe de l’Université de Toronto à bâtir une petite grue dotée d’un électro-aimant capable de trier le métal ne sont pas des étudiants ordinaires : ils sont en troisième et quatrième années du primaire, et près de la moitié d’entre eux sont des fillettes. Tous participent à un programme de sensibilisation dont l’objectif est d’aider à briser les barrières économique, raciales et de genre. Avec ces quelques heures d’ateliers les fins de semaine, l’université espère inciter des jeunes filles de toutes origines à s’orienter vers les domaines des sciences, des technologies, de l’ingénierie et des mathématiques. Plusieurs autres universités canadiennes organisent des activités semblables la fin de semaine, durant les vacances estivales ou la relâche scolaire.
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