Les personnes chargées de cours de l’UQO vont intensifier leurs moyens de pression
Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université du Québec en Outaouais (SCCC-UQO) veut intensifier ses moyens de pression pendant ses négociations avec l’Université. Il n’écarte pas la possibilité de déclencher une grève. C’est ce qu’a affirmé la présidente du Syndicat, Marie-Josée Bourget, dans la foulée d’un point de presse jeudi pour faire un bilan des discussions avec la partie patronale. Tant la direction de l’Université que le Syndicat avaient exprimé une volonté d’en arriver à une nouvelle entente d’ici Noël. Mme Bourget estime qu’après plusieurs séances de discussions, les négociations se sont détériorées et qu’une entente d’ici le temps des Fêtes est improbable.