Stages non rémunérés : une zone grise de la légalité et de l’éthique


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Travailler sans être payé: c’est la réalité de près de 300 000 jeunes au Canada, qui sont embauchés pour des stages non rémunérés. « Si la personne fait un travail, elle devrait être payée », explique Me Félix-Antoine Michaud. Mais même si la loi semble claire, beaucoup de cas tombent dans une zone grise, comme lorsque le stage est crédité. Jusqu’à tout récemment, les internats en psychologie étaient rémunérés partout au Canada, sauf au Québec, explique Fannie Carrier Émond, qui a participé à la lutte pour que ces stages soient compensés financièrement – une lutte qui a porté fruit en 2016, après une grève de quatre mois.

Nouveau-Brunswick : une campagne pour dénoncer les stages non rémunérés


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Les étudiants continuent d’espérer que le gouvernement provincial allège leur fardeau financier. La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lançait mardi la campagne #Monstagemeruine, dénonçant les stages obligatoires non rémunérés. Ils demandent de l’aide financière à la province pour réaliser leurs stages non rémunérés. Selon les étudiants, c’est au sein de la fonction publique que la majorité de ces stages sont réalisés. En plus de payer leurs droits de scolarité, les stagiaires doivent souvent se procurer toute une gamme de matériel relié à leur stage.

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