Relancer le réseau universitaire pour stimuler le développement du Québec


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Les coupes successives imposées par le gouvernement québécois au réseau universitaire depuis 2012 compromettent sa capacité de contribuer pleinement au développement économique, social et culturel du Québec. L’ensemble de la communauté universitaire, à l’exception des membres de la haute direction, peut témoigner des effets asphyxiants des compressions budgétaires cumulées ayant présidé à la dégradation des conditions de travail et d’étude qui menace la vitalité des universités, affirme Jean-Marie Lafortune, président de la Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université.

Lire la suite du texte d’opinion publié par Le Soleil.

Le grand démantèlement du réseau universitaire québécois


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La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) est consternée de la façon cavalière avec laquelle votre gouvernement s’attaque cet automne au réseau universitaire. Au cours des dernières semaines, le ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Blais, a fait circuler des idées insensées quant à l’avenir du siège social de l’Université du Québec et à la fermeture possible de la Télé-université (TÉLUQ). Doit-on comprendre que votre gouvernement désavoue complètement les communautés universitaires déjà fragilisées par les compressions budgétaires à répétition dont elles sont victimes depuis plusieurs années ?

Lire la suite de la lettre au premier ministre du Québec.

Accueillir des étudiants étrangers pour qu’ils contribuent au dynamisme du Québec


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La question mérite d’être formulée clairement: pourquoi devons-nous continuer d’accueillir des étudiants étrangers? Et quelles balises devrions-nous mettre en place pour que l’échange soit équitable? Alors que notre société peine à financer adéquatement son réseau universitaire, la tentation peut être forte de privilégier l’admission des étudiants étrangers sur celle des étudiants d’ici. Or, en procédant de la sorte, nous risquons de faire passer les raisons économiques avant les raisons académiques. Ce qui n’est jamais une bonne approche. S’en remettre aux étudiants étrangers pour financer nos universités, c’est implicitement avouer que nous n’avons pas les moyens de nous payer le système universitaire que nous prétendons vouloir.

Effort record de 300 millions $ réclamé aux universités


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Les compressions exigées pour l’ensemble du réseau universitaire s’élèveraient non pas à 172 millions $ tel que rapporté lundi par Le Soleil, mais à plus de 300 millions $ pour 2014-2015, selon les calculs de l’Université de Montréal. Les chiffres officiels du ministère de l’Enseignement supérieur, que l’on retrouve dans les orientations budgétaires transmises aux universités, sont contestés par certaines universités.

Lire la suite du texte du Soleil.

Les universités redoutent l’impact des compressions

Les étudiants accusent Bolduc de leur refiler la facture

La faute au déficit, selon Couillard

L’ASSÉ dénonce les compressions imposées aux universités