Philippe Denis commente l’apport d’Hubert de Givenchy à la mode des années 50


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Créateur de haute couture ayant habillé les plus grandes stars, reconnu pour son style «chic décontracté», Hubert de Givenchy s’est éteint dans son sommeil samedi dernier, à l’âge de 91 ans. «Ce que Givenchy apporte aux années 50, c’est un souffle d’air frais. On était alors dans une mode très conservatrice, avec les jupes en corolle et les tailles de guêpe – donc très Christian Dior. Givenchy, à l’inverse, propose des lignes classiques, droites, élégantes, tout en démocratisant la mode avec son style qui plaît aux jeunes», résume le chargé de cours à l’École supérieure de mode Philippe Denis, pour La Presse+.

Naoufel Remili, Madeleine Goubau et Philippe Denis parmi les organisateurs du colloque Montréal, ville de mode?


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Montréal, ville de mode? C’est la question centrale de ce colloque (9 mai) organisé par l’École supérieure de mode (ESM) de l’ESG UQAM dans le cadre du congrès de l’ACFAS. Les participants discuteront entre autres des critères permettant de qualifier une «ville de mode», des avantages d’une telle appellation, de l’industrie de la mode à Montréal, de son histoire et de ses innovations plus récentes ainsi que de différents cas de villes et de capitales de mode dans le monde. «Montréal ne peut pas se comparer aux grandes capitales de la mode comme New York, Paris ou Londres», souligne Naoufel Remili, chargé de cours à l’ESM et l’un des responsables du colloque avec les chargés de cours Madeleine Goubau et Philippe Denis et la professeure Marie-Ève Faust, également de l’ESM.

Philippe Denis commente le retour de la culotte taille haute pour La Presse+


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La culotte taille haute n’a peut-être pas eu très bonne réputation dans le passé, mais elle fait un véritable retour en force. De plus en plus glamour, elle a l’avantage d’affiner la taille et de faire l’effet d’une belle silhouette. «Il y a des cycles dans la mode. En 2001, plus les femmes montraient de peau et dévoilaient leur corps, plus elles étaient sexy», explique Philippe Denis, chargé de cours à l’École supérieure de mode. Il estime qu’aujourd’hui, la mode est revenue à un jeu de séduction où les femmes gardent un peu plus de mystère.

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