Lutte contre la maltraitance envers les aîné-es et les personnes vulnérables : il faut aussi s’attaquer aux causes systémiques


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La Confédération des syndicats nationaux croit que des précisions importantes doivent être apportées au projet de loi 115, loi visant à lutter contre la maltraitance envers les aîné-es et toute autre personne en situation de vulnérabilité. Pour la CSN, qui­ représente près de la moitié des salarié-es du réseau public de la santé et des services sociaux, et ce dans tous les titres d’emploi, ce seul projet de loi ne pourra atteindre pleinement ses objectifs si on ne remet pas en cause, en même temps, les causes systémiques du phénomène de la maltraitance.

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Une réussite qui dépend d’un réinvestissement significatif selon la CSQ.

Protectrice du citoyen : les plus vulnérables ont payé le prix de l’austérité


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La bureaucratie a moins souffert que les personnes vulnérables des compressions dans les services publics, a soutenu la protectrice du citoyen, Raymonde Saint-Germain, qui publiait le 29 septembre un volumineux et dernier rapport annuel après dix ans à la tête de l’institution. Un bilan dont les conclusions ont été balayées du revers de la main par le premier ministre Philippe Couillard. Il s’est dit en « désaccord » avec les constats de la protectrice. «Les discours sur les personnes vulnérables, les discours sur la solidarité, avec des finances publiques déséquilibrées et un endettement chronique, ce n’est que du vent, ça ne veut rien dire pour la population», a déclaré le premier ministre.

Fin des consultations sans rendez-vous au CLSC des Faubourgs : les personnes les plus vulnérables seront les plus touchées


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Depuis lundi, les patients qui se présentent au CLSC des Faubourgs au centre-ville de Montréal ne peuvent plus consulter un médecin sans rendez-vous s’ils n’ont pas déjà un médecin famille à cet endroit. Les médecins affirment qu’ils ont pris cette décision pour répondre aux nouvelles exigences du ministère de la Santé. La médecin Marie-Claude Goulet croit que ce sont les plus pauvres du quartier qui vont subir les contrecoups de cette décision. «Les personnes qui vont être les plus touchées ce sont toutes les personnes vulnérables qui ne sont pas assez organisées pour faire toutes les démarches pour s’inscrire et avoir un médecin de famille.