Quatre nouvelles raisons pour de méfier du REM


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À la suite de nombreuses pressions, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) a décidé de faire preuve de plus de transparence et de dévoiler le montage financier et les ententes contractuelles lui permettant de mettre en place le Réseau express métropolitain (REM). J’avais déjà fait une synthèse de mes inquiétudes face au projet. Les nouvelles informations en ajoutent une couche ! Tel que mentionné dans notre note socioéconomique (p.5) de l’an dernier et confirmé hier, si la CDPQ n’atteint pas le rendement espéré après 5 ans d’opération, elle aura l’option de récupérer ce rendement de trois manières.

L’entente entre la Caisse et Québec : de la privatisation sous le vernis d’une institution publique


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Il ne faut pas douter que l’annonce qui a été faite sur la nouvelle entente entre la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et le gouvernement est une forme de privatisation sournoise des services publics. On voit ici un modèle de gestion et de financement ouvrant la porte à ce que des investisseurs privés accaparent les infrastructures en se présentant dans l’espace médiatique avec le vernis d’une institution publique. Mais la logique néolibérale est encore plus forte dans ce cas-ci qu’elle ne l’était dans les partenariats public-privé (PPP).

Lire la suite sur le blogue de l’IRIS.

Devrait-on racheter les PPP du CHUM et du CUSM ?


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Les partenariats public-privé (PPP) font régulièrement la manchette depuis l’importation au Québec de ce mode de financement et de gestion de projets d’infrastructures publiques. Les coûts importants de cette approche font partie des critiques qu’elle encourt périodiquement. Dans la présente note socio-économique, l’IRIS estime les coûts de rachat des PPP des deux centres hospitaliers universitaires de Montréal. Ce calcul vise à déterminer si le rachat des contrats en PPP par l’État s’avérerait l’option la plus rentable pour les finances publiques du Québec.

Lire la note socio-économique de l’IRIS.

Le CHUM n’est pas une occasion d’affaires, mais un service public.