Quatre nouvelles raisons pour de méfier du REM


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À la suite de nombreuses pressions, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) a décidé de faire preuve de plus de transparence et de dévoiler le montage financier et les ententes contractuelles lui permettant de mettre en place le Réseau express métropolitain (REM). J’avais déjà fait une synthèse de mes inquiétudes face au projet. Les nouvelles informations en ajoutent une couche ! Tel que mentionné dans notre note socioéconomique (p.5) de l’an dernier et confirmé hier, si la CDPQ n’atteint pas le rendement espéré après 5 ans d’opération, elle aura l’option de récupérer ce rendement de trois manières. Le Québec pourra reprendre le contrôle du REM après 50 ans. C’est le moment où il faudra renouveler la flotte de trains et assurer une maintenance exhaustive des actifs par des investissements substantiels. À titre indicatif, dans les modèles de partenariats public-privé (PPP) traditionnels, l’État récupère les actifs sur une période de 25 à 35 ans.

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