Partenaires pour un Québec français : La loi 101 : 40 ans de fierté


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À l’occasion du 40e anniversaire de la Charte québécoise de la langue française, la table de concertation Partenaires pour un Québec français (PQF) lance une campagne nationale de fierté sur la loi 101. Sous le thème: La loi 101: 40 ans de fierté. Toujours à la mode, depuis 1977, PQF souhaite notamment rappeler les progrès réalisés grâce à l’adoption de la Charte. Ces célébrations seront l’occasion pour la dizaine d’organisations de la société civile formant PQF de réitérer l’importance du français comme seule langue commune et officielle du Québec. En s’appuyant sur les progrès réalisés depuis 40 ans, PQF fera valoir ses revendications auprès du gouvernement dans les prochaines semaines, notamment un renforcement de la loi 101.

Le droit de travailler en français au Québec menacé


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Le 9 mars dernier, la Cour suprême a refusé d’entendre une cause qui portait sur l’exigence du bilinguisme pour certains postes de travail. Loin d’être anecdotique, cette décision suit la tendance prise par l’État et les tribunaux québécois de systématiquement minimiser la portée de la Charte de la langue française. Nous prenons la plume aujourd’hui pour sonner l’alarme puisque cette décision risque d’avoir un impact anglicisant important sur l’ensemble des milieux de travail québécois si les dispositions de la loi 101 ne sont pas renforcées.

Lire la lettre d’opinion du collectif Partenaires pour un Québec français, parue dans Le Devoir.

Partenaires pour un Québec français dénonce la position de repli du gouvernement Couillard en matière d’affichage commercial


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Partenaires pour un Québec français (PQF), dont sont membres la CSN, la FTQ, la CSQ et la FAE, dénonce l’intention du gouvernement de ne pas obliger les entreprises à ajouter un générique français à une marque de commerce anglaise sur l’affichage extérieur d’un commerce. Le gouvernement modifiera plutôt le règlement sur l’affichage commercial afin de s’assurer d’une nette prédominance du français en général sur les façades plutôt que de s’attaquer à l’ajout d’un générique aux marques de commerce.

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