Le droit de travailler en français au Québec menacé


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Le 9 mars dernier, la Cour suprême a refusé d’entendre une cause qui portait sur l’exigence du bilinguisme pour certains postes de travail. Loin d’être anecdotique, cette décision suit la tendance prise par l’État et les tribunaux québécois de systématiquement minimiser la portée de la Charte de la langue française. Nous prenons la plume aujourd’hui pour sonner l’alarme puisque cette décision risque d’avoir un impact anglicisant important sur l’ensemble des milieux de travail québécois si les dispositions de la loi 101 ne sont pas renforcées.

Lire la lettre d’opinion du collectif Partenaires pour un Québec français, parue dans Le Devoir.