Une chercheuse de l’UQAM toujours en cour pour protéger ses sources
Marie-Ève Maillé, une chercheuse de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), devra attendre encore plusieurs semaines avant de savoir si la décision qui l’oblige à divulguer certaines données confidentielles à propos d’une recherche qu’elle a réalisée sera infirmée. Le juge Marc St-Pierre a pris la cause en délibéré, mercredi, au palais de justice de Victoriaville, où la chercheuse de l’UQAM tentait de le convaincre de renverser la décision qui l’obligerait à dévoiler les sources de son étude Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec, conduite dans le cadre de son doctorat en communication sur les éoliennes.