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Le revenu viable : indicateur de sortie de la pauvreté en 2018


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La publication à l’automne 2017 du rapport du Comité d’experts sur le revenu minimum garanti et de la troisième édition du plan d’action requis par la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale a mis en évidence l’impact de l’absence d’un indicateur probant pour la sortie de la pauvreté au Québec. Malgré les avertissements d’un avis du Centre d’étude sur la pauvreté et l’exclusion (CÉPE) en 2009, ces deux publications ont entretenu la confusion entre la couverture des besoins de base, pour laquelle la mesure du panier de consommation (MPC) constitue un indicateur approprié, et la sortie de la pauvreté, pour laquelle il n’existe pour le moment pas d’indicateur répondant à la définition de la pauvreté donnée dans la loi.

Les désinformations du plan d’action : que devient l’appel à tendre vers un Québec sans pauvreté?


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La troisième mouture du plan d’action requis par la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale a été rendue publique trois jours avant le quinzième anniversaire de l’adoption à l’unanimité de la loi, le 13 décembre 2002. En considérant le lot de contournements que comporte ce Plan d’action gouvernemental pour l’inclusion économique et la participation sociale 2017-2023, on peut se demander ce que devient l’appel de la Loi « à tendre vers un Québec sans pauvreté », une expression absente du document.

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

Vers un troisième plan de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale : le Québec mérite mieux que la politique du moins pire


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La semaine dernière, le ministre François Blais reconnaissait à juste titre l’échec des deux premiers plans de lutte à la pauvreté. Ceux-ci n’ont pas permis au Québec d’atteindre l’objectif de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, qui est de faire du Québec l’une des nations industrialisées comptant le moins de personnes en situation de pauvreté. «Après cela, le ministre Blais a beau jeu de promettre que le prochain plan de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale sera meilleur que les précédents», lance le porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté, M. Serge Petitclerc. «Il n’a pas placé la barre bien haut.

De 623 $ à 399 $ : le plancher de revenu érodé de l’aide sociale coupable


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Le 11 mai, en commission parlementaire, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale a fait connaître une partie de ses intentions réglementaires quant aux dispositions du projet de loi 70 qui viendront compliquer l’accès à l’aide sociale. Ce recul appréhendé défait le chemin parcouru vers une meilleure sécurité du revenu avec la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, tout en lui étant contraire en plusieurs points. Il reconduit aux propos de Gaston Miron, qui prennent dans cette situation un sens inattendu et criant: «Ça ne pourra pas toujours ne pas arriver. Nous entrerons là où nous sommes déjà.»