L’argent en éducation selon l’IEDM : avancez vers l’arrière


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Oubliez l’austérité. S’il faut en croire une étude récente de l’Institut économique de Montréal (IEDM) l’argent pleut sur le réseau d’enseignement public préscolaire, primaire et secondaire alors même que l’effectif étudiant diminue. Et cela va s’intensifier puisque le gouvernement prévoit des dépenses additionnelles en infrastructures et l’embauche de personnel. Pour mettre un terme à cet «emballement des dépenses» au cours de la dernière décennie, il faut «changer les façons de faire sans que cela ne coûte plus cher», afin que «le contribuable en ait plus pour son argent», croit l’IEDM. Voilà la trame d’une étude dont l’objectif premier est de ressasser les mêmes poncifs éculés à saveur libertarienne.

Salaire minimum en région : l’IEDM et la politique de la peur


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Le débat sur le salaire minimum n’est pas près de ralentir. Nous saurons bientôt ce que le gouvernement décidera de faire cette année: allons-nous encore imposer une hausse insuffisante ou, au contraire, Québec mettra-t-il de l’avant une augmentation conséquente afin de lutter contre le phénomène des travailleurs et travailleuses pauvres? Nous serons fixés bientôt. En attendant, les avis et analyses de se multiplient. Encore cette semaine, l’Institut économique de Montréal (IEDM) publiait une note économique qui, je cite, veut illustrer «comment une hausse substantielle du salaire minimum aurait un impact négatif démesuré en région». Le postulat des auteurs va à peu près comme suit: certaines régions ont des salaires beaucoup plus bas que le reste du Québec et conséquemment, leur marché du travail serait plus durement touché par une augmentation du salaire minimum.

Comment définir une position progressiste sur les transferts canadiens en santé?


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Faut-il se ranger du côté de Gaétan Barrette et des revendications historiques du Québec? Ou faut-il voir en Jane Philpott un rempart désespéré contre le travail acharné de démolition du système socio-sanitaire québécois par le premier? Ou faut-il adopter la simplicité volontaire libertarienne de l’Institut économique de Montréal (IEDM) qui proposait dans Le Devoir jeudi dernier de ne pas trop s’en faire avec les transferts et de plutôt accélérer la mise en compétition des hôpitaux? L’actuel débat sur les transferts fédéraux de santé accapare beaucoup d’attention. Et pour cause, les sommes en jeu sont considérables, elles soulèvent des questions idéologiques importantes, et les confrontations entre Ottawa et les provinces sur cet enjeu donnent parfois l’impression de dater du paléolithique.

Pour se sauver de la gentrification, la griffintownisation


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Ainsi donc, pour l’Institut économique de Montréal (IEDM), on devrait applaudir le processus de gentrification qui affecte de nombreux quartiers montréalais. Dans un document de 850 mots qu’il publiait le 15 août, l’Institut concède à demi-mot que ce phénomène peut avoir un effet sur l’accessibilité au logement… mais que ce n’est pas pour autant un problème, puisque dérèglementer le zonage permettrait de tout régler facilement. Ce qui manque à Hochelaga-Maisonneuve, le Plateau Mont-Royal ou Verdun, ce sont des tours de trente étages. Voilà, c’est réglé, on passe à un autre appel.

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L’Institut économique de Montréal et la pauvreté : quelques problèmes


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Il y a quelques semaines, des chercheurs de l’Institut économique de Montréal (IEDM) ont publié une note sur la persistance de la pauvreté. La première conclusion de la note mise de l’avant par l’IEDM (notamment dans son communiqué) est que seulement 1,5% des gens vivent de façon prolongée dans la pauvreté au Canada et que ce taux serait en baisse. La deuxième conclusion est que si l’on prend les gens qui étaient dans le quintile le plus pauvre de la population en 1990 et qu’on regarde le revenu de ces mêmes personnes en 2009, on constate qu’il est passé de 6 000$ à 44 100$, soit une augmentation de 635%.

État de la dette du Québec 2014 : autre perspective


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La dette du Québec est au cœur des débats politiques depuis au moins trente ans. On s’interroge continuellement sur son ampleur, son accroissement ou le fardeau qu’elle représenterait pour les générations futures. Du compteur de la dette produit par l’Institut économique de Montréal (IEDM) jusqu’à la mascotte Joe Dette qui arpentait le Québec à la poursuite des candidates et candidats des partis politiques lors de la dernière campagne électorale, la dette du Québec est un objet politique qui inquiète. Cette brochure vise à changer de perspective sur l’endettement du Québec. Elle permettra de mieux comprendre sa taille et son fonctionnement.

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