Des groupes demandent un référendum sur le CETA (AÉCG) et présentent un nouveau rapport


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À l’occasion d’une conférence de presse organisée à l’Assemblée nationale française à Paris le 20 septembre, des dizaines d’organisations environnementales, associatives et syndicales ont officiellement demandé la suspension de l’application provisoire du CETA (AÉCG), l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada, prévue le 21 septembre et l’organisation d’un référendum sur le sujet. Claude Vaillancourt, président d’ATTAC-Québec y participait pour livrer le point de vue de l’opposition québécoise et canadienne à cet accord. Juste avant, des actions ont été menées devant l’Assemblée et le Sénat, entre autres. Pour plus d’infos, et d’autres photos.

Lettre ouverte : La France ne doit pas ratifier le CETA (l’AÉCG).

CETA : Non à une «déclaration interprétative» qui ne change rien!


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Déclaration commune de la Confédération générale du travail (CGT-France) de la FTQ et de la CSN (représentant 1,7 million de travailleuses et travailleurs) interpellant le Conseil des affaires étrangères de la Commission européenne mardi concernant l’AECG. Dans le cadre de l’accord de libre-échange négocié entre l’Union Européenne et le Canada (Accord économique et commercial global – AÉCG, CETA en anglais), un document de 5 pages nommé «déclaration interprétative», censé venir en annexe des 1600 pages du texte de l’accord, a été rendu public le 5 octobre. Ce texte a pour objectif d’apaiser les critiques et craintes émises par les opposants de l’accord, de plus en plus nombreux au Canada et en Europe.

Accords de libre-échange ou climat, il faut choisir


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«Satisfaisant les intérêts des multinationales de l’énergie et de l’industrie, l’extension du libre-échange et de la protection de l’investissement privé s’oppose aux exigences de sobriété, de relocalisation des systèmes productifs, de développement des énergies renouvelables et de coopération entre les citoyens, les consommateurs et les communautés pour partager et distribuer les ressources existantes, affirme Maxime Combes, d’Attac France. Combattre les accords de l’ampleur de TAFTA et de CETA (AÉCG Canada-Union européenne) c’est lutter contre le réchauffement climatique car c’est préserver la possibilité de mettre en œuvre de véritables pratiques et politiques de transition écologique et sociale.»

Visionner la vidéo d’Attac France.