Un mouvement est en marche pour la rémunération de tous les stages depuis 2014. Un appui à ce mouvement est fondamental, dans la mesure où celui-ci s’attaque à un tort historique inacceptable relatif à la non reconnaissance du travail féminin, de la reproduction du social et des soins. Il faut reconnaître que la mobilisation en cours constitue un renouveau du militantisme étudiant qui ne peut qu’être bénéfique pour la défense du droit à l’éducation.
Pour lire le communiqué du Comité école et société de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ) sur le sujet, cliquez ici.