Ces derniers jours, on a pu lire, dans plusieurs médias, l’analyse et les commentaires judicieux de notre collègue, Sandrine Ricci, sur le mouvement #MoiAussi (#MeToo), qui a pris forme en Occident, et au Québec, il y a cinq ans. Madame Ricci est chercheuse doctorale en sociologie et études féministes et affiliée à la Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur à l’UQAM. Elle est aussi chargée de cours.
Comme le souligne Marie Fradette, dans un article du Devoir du 15 octobre qui présente le livre d’Améli Pineda intitulé Que reste-t-il de #MoiAussi?, « Sandrine Ricci décortique le mouvement, son influence, son évolution et constate les changements apportés au mouvement depuis qu’elle a entamé ses recherches doctorales ». En plus de cet article, on retrouve des traces récentes des recherches de madame Ricci dans le Nouvel Obs, dans Le Soleil, dans Châtelaine et dans un balado de Juripop intitulé « Le sens des mots : validation et reconnaissance des violences par le vocabulaire ». C’est à lire et écouter pour toutes et tous!