Le vice-recteur à la vie universitaire de l’UQAM, Marc Turgeon, prenait la parole le 15 avril dernier dans les pages de La Presse afin de justifier le refus de l’UQAM d’appuyer l’implantation d’un centre d’injection supervisée près du campus de l’Université. L’implantation d’un tel site semble pourtant tomber sous le sens pour l’UQAM qui doit faire face à un problème réel de toxicomanie à l’intérieur même de ses murs. Plus de 350 membres de la communauté uqamienne demandent que l’UQAM se dissocie publiquement des propos de Marc Turgeon et que les membres de la direction se gardent, dorénavant, d’affirmer une position institutionnelle sans validation auprès de la communauté universitaire.
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