Se croyant désavantagé par rapport aux universités anglophones, le réseau de l’Université du Québec réclame une aide spéciale de 5 millions $ pour l’aider à recruter des étudiants internationaux.
« On n’est pas dans les mêmes marchés, on n’est pas égaux », plaide Johanne Jean, présidente de l’Université du Québec (UQ).
Dès septembre, toutes les universités québécoises pourront exiger des droits de scolarité aussi élevés qu’elles le souhaitent aux étudiants internationaux. Cette déréglementation mise de l’avant par l’ex-ministre de l’Enseignement supérieur Hélène David se veut un moyen de financer les universités.
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