Il est particulièrement irresponsable de jouer avec la vie de milliers d’enfants et d’adolescents vulnérables sous la responsabilité de la DPJ. La Loi sur la protection de la jeunesse prévoit pourtant que l’État doit assurer la sécurité et le développement de ces enfants. Le gouvernement du Québec a décidé de retrancher 20 M$ dans le budget des centres jeunesse du Québec pour 2014-2015, alors que le nombre de cas d’enfants signalés à la DPJ ne cesse d’augmenter chaque année. L’Association des centres jeunesse du Québec se dit «préoccupée» quant à sa capacité à maintenir les services actuels pour les jeunes vulnérables.