Pour l’élimination de la violence faite aux femmes
Le 25 novembre dernier, c’était la Journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes. On vous invite à lire, ou relire ce texte paru dans le Devoir.
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Le 25 novembre dernier, c’était la Journée internationale pour l’élimination de la violence faite aux femmes. On vous invite à lire, ou relire ce texte paru dans le Devoir.
Une collègue chargée de cours à l’Université de Montréal, Françoise Miquet, active dans le collectif Debout pour l’école, signe ce texte dans l’édition du 3 décembre du Devoir. Elle voit la catastrophe qui s’annonce en enseignement en non-présentiel.
Pour lire la dernière parution du bulletin de Debout pour l’école, un collectif citoyen de réflexion et d’intervention sur l’éducation au Québec qui place les enjeux de l’éducation au cœur des débats de la société québécoise.
La pétition qui vise, en temps de crise socio-sanitaire, à préserver la qualité de l’enseignement et la réussite des étudiantes et des étudiants à l’université est toujours en cours.
En période de crise socio-sanitaire, cette pétition souligne, entre autres, la nécessité de limiter la taille des groupes cours. Rédigée par le Regroupement université de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), qui rassemble douze syndicats d’enseignantes et d’enseignants universitaires à contrat, sera déposée à la ministre de l’Enseignement supérieur. Si ce n’est déjà fait, on vous invite à la signer dès maintenant et à la partager dans vos réseaux personnel et professionnel, auprès de vos collègues, de vos étudiantes et étudiants, de votre famille et de vos amies et amis!
La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) est d’avis que la population du Québec a suffisamment souffert du désinvestissement dans les services publics, l’éducation, l’enseignement supérieur, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome.
En vue du prochain budget, qui déterminera en grande partie notre capacité collective à traverser cette crise et les autres qui pourraient survenir, la Fédération demande au gouvernement Legault d’adopter, dès le prochain budget, les solutions fiscales qui lui permettront de procéder aux investissements nécessaires pour renforcer le filet social.
La FNEEQ-CSN, qui est membre de la Coalition Main rouge, invite donc les membres de tous ses syndicats et la population à signer la pétition qu’elle a lancée le 13 novembre.
La Direction de l’UQAM justifie souvent la coupure du nombre de charges de cours et l’augmentation de la taille des groupes-cours par la diminution des inscriptions à l’université. Et on nous rabat le discours, qu’à l’UQAM, c’est surtout dû à la culture de la grève étudiante trop présente. Bla, bla, bla… Pourtant, dans la dernière édition de son bulletin, la Direction du Registrariat de l’UQAM annonce une hausse des inscriptions.
Direction du Registrariat
Légère hausse des inscriptions à l’Université
« Au trimestre d’automne 2020, près de 315 000 étudiantes et étudiants se sont inscrit(e)s dans les universités québécoises, ce qui représente une hausse des inscriptions totales de 1,3 % comparativement au trimestre d’automne 2019 ».
À la veille de l’Halloween, des enseignantes et enseignants de cégep ZOOMbies, qui vivent une importante surcharge de travail en situation de pandémie, ont manifesté à Québec et à Sherbrooke. Les ZOOMbies de l’enseignement supérieur ont lancé un cri d’alarme au Gouvernement du Québec et à la ministre de l’Enseignement supérieur. Deux reportages vidéo en font état : vimeo.com/473925113 et vimeo.com/473914765.
Le Consortium d’animation sur la persévérance et la réussite en enseignement supérieur (CAPRES) vient de lancer le dossier Diversité sexuelle et de genre en enseignement supérieur.
Destiné aux personnes œuvrant « autour de la classe » au cégep et à l’université, ce dossier de transfert des connaissances vise principalement à examiner la reconnaissance de la diversité sexuelle et de genre en enseignement supérieur sur trois plans :
institutionnel et administratif; pédagogique (dans la classe); des services offerts à la population étudiante.Le dossier est dans un format évolutif et il comprend actuellement cinq fiches autoportantes. En plus de consulter le dossier du CAPRES et de visiter les fiches,on peut le diffuser dans nos réseaux sociaux par ces liens du CAPRES : publication Facebook , publication LinkedIn et gazouillis Twitter.
Chers 286,420 signataires du Pacte,
C’est aujourd’hui l’anniversaire du Pacte et le jour de sa conclusion, tel qu’annoncé dans son texte fondateur. Permettez-nous un petit bilan pour vous dire au revoir dignement.
Le Pacte a été lancé il y a deux ans, avec plus de 500 scientifiques, artistes et personnalités publiques, avec l’espoir de rallier des citoyens partout pour répondre à l’urgence climatique. Rapidement, nous avons été près de 300 000 à prendre l’engagement de faire notre juste part, au cours des deux années suivant notre signature, mettant au défi nos gouvernements d’en faire autant.
« Passer de la parole aux actes », qu’on disait.
Comme vous le savez sans doute, Samuel Paty, un enseignant en histoire et en géographie, a sauvagement été assassiné le 16 octobre dernier, tout près de son école, à Conflans-Sainte-Honorine, en France.
Vous pouvez retrouver de multiples reportages sur cet assassinat sur Internet et dans les médias traditionnels; c’est pourquoi, dans ces circonstances tragiques, nous n’en ferons pas état ici.
Toute l’équipe syndicale du SPPEUQAM et, par extension, toutes et tous ses membres désirent exprimer ses profondes condoléances ainsi que sa solidarité à la famille de Samuel Paty et à ses proches, à ses collègues et à toute la France.
Ce message sera envoyé au syndicat de M.
À titre de vice-président à l’information du SPPEUQAM, j’ai, le 21 octobre, eu une conversation d’une vingtaine de minutes avec Verushka Lieutenant-Duval, chargée de cours en Histoire de l’art à l’UQAM et à l’Université de Sherbrooke. Comme vous le savez sans doute, elle enseigne également à l’Université d’Ottawa, à titre de professeure à temps partiel, une dénomination professionnelle qui correspond à celle de chargée de cours.
Je l’ai informée que notre Assemblée générale du 21 octobre avait voté une résolution confirmant, entre autres, notre solidarité à son endroit, ce qui l’a vraiment touchée. Elle reçoit d’ailleurs plusieurs messages de solidarité, particulièrement de personnes enseignant au Québec, un peu d’Ontario et de plus en plus en provenance de France.
L’Assemblée générale du SPPEUQAM du 10 juin dernier a voté l’octroi d’un don en faveur de la Ligue des droits et libertés, soutenant ainsi son travail essentiel pour la promotion et la défense de droits qui nous sont chers, comme le Droit de manifester, Le droit à la protection sociale, Écologie et droits humains, la Politique sur les interpellations, ou la Mobilité des personnes et [les] droits humains dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Pour ces mêmes raisons, nous invitons nos membres, qui en auraient les moyens, à contribuer à titre personnel à la campagne de financement de annuelle 2020-2021 de la Ligue, actuellement en cours.
Dans le cadre du GRIÉMÉtic, deux chercheures de l’Université de Montréal et de l’UQAM mènent cet automne une recherche sur les Santé psychologique et qualité de vie professionnelle pendant la pandémie de Covid-19 chez les enseignantes et enseignants francophones.
Elles font actuellement circuler leur questionnaire auprès des enseignant-e-s, de l’école primaire à l’université. Suivant la suggestion de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ), nous vous invitons à participer à cette enquête en remplissant ce questionnaire en ligne.
Votre participation devrait durer, au plus, 20 minutes. Pour prendre connaissance du résumé du projet (pour les personnes fréquentant facebook).
« Célébrée chaque année le 5 octobre depuis 1994, la Journée mondiale des enseignant(e)s commémore la signature de la Recommandation OIT/UNESCO concernant la condition du personnel enseignant de 1966. Cette Recommandation fixe les critères de référence relatifs aux droits et aux responsabilités des enseignant(e)s ainsi que les normes fixant leur formation initiale et continue, leur recrutement, leur emploi et les conditions d’enseignement et d’apprentissage. La Recommandation concernant la condition du personnel enseignant de l’enseignement supérieur, adoptée en 1997, complète la Recommandation de 1966 pour y adjoindre le personnel de recherche et d’enseignement de l’enseignement supérieur ». (Source : fr.unesco.org/commemorations/worldteachersday)
La crise actuelle a révélé que les enseignantes et les enseignants sont en première ligne.
Une lettre du président de la Confédération des syndicats nationaux, Jacques Létourneau, a été publiée dans le journal Le Devoir du 3 octobre 2020, sous le titre « Une distance à craindre en enseignement supérieur ».
Voir le site très complet de la CSN et cette page facebook.com/LaCSN pour plusieurs nouvelles du monde du travail.
Cette année, le Prix d’excellence en recherche et en recherche-création de la Faculté des arts s’adresse aux personnes chargées de cours avec plus de dix ans d’expérience. Ce prix vise à reconnaitre l’apport exceptionnel d’une personne qui se distingue dans le cadre de son travail en faisant preuve d’une implication et d’un apport remarquable à la recherche et de la recherche-création développée à la Faculté des arts.
Plusieurs parmi nous sont de talentueuses personnes chargées de cours à correspondre aux critères d’admissibilités; c’est pourquoi nous les encourageons à soumettre leur candidature à ce prix qui est accompagné d’une bourse de 1 000 $ provenant du budget du Vice-décanat à la recherche et à la création.
Dans le cadre des activités du GRIÉMÉtic, les professeures Carla Barroso da Costa du Département d’éducation et pédagogie de l’UQAM et Nathalie Loye de l’Université de Montréal, mènent une recherche sur la Santé psychologique et la qualité de vie professionnelle pendant la pandémie de Covid-19 chez les enseignant.e.s francophones. Elles souhaitent faire circuler leur questionnaire auprès des enseignants, de l’école primaire à l’université.
Nous encourageons les chargées et chargés de cours de l’UQAM à y participer. Voici la description de la recherche et le lien pour accéder au questionnaire d’enquête.
Le 16 octobre prochain sera le triste 50e anniversaire de la promulgation de la Loi sur les mesures de guerre par le Gouvernement du Canada, dirigé par Pierre Eliott Trudeau. 497 personnes ont été incarcérées et plus de 35 000 perquisitions ont été effectuées, sans mandat, pendant les mois d’octobre, de novembre et de décembre 1970. Des personnes militant dans les organisations syndicales ou dans les groupes communautaires, et aussi des personnes du milieu de l’enseignement supérieur, ainsi que des jeunes étudiant à l’UQAM ont alors été brutalement arrêtées. Pour reprendre contact avec ce triste anniversaire, par devoir de mémoire, il importe de voir, ou de revoir, deux films : les Rose et Les Ordres.
Un an après la remise du rapport de la Commission Viens, décédait, abominablement, l’Atikamekw Joyce Echaquan, à l’Hôpital de Joliette. Le rapport de cette Commission, dont le nom officiel est « Commission d’enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publics au Québec », déposé le 30 septembre 2019, faisait, entre autres, suite aux actes de violences sexuelles racistes infligés aux femmes autochtones de Val-d’Or en Abitibi par des policiers de la Sûreté du Québec. Pour consulter ce rapport, dont les suites tardent à venir.
La première rencontre du trimestre d’automne de la Commission des études s’est tenue le 15 septembre 2020. Nos trois commissaires, Amel Aloui, Mariève Ross et France Simard, étaient présentes pour porter la voix des chargées et chargés de cours.
Un des points particulièrement sensibles qui a été traité portait sur l’évolution de l’effectif étudiant. Ces données sont importantes, car leur résultat influence les revenus de l’UQAM. Malheureusement, la présentation n’a porté que sur des chiffres préliminaires, mais une tendance semble émerger quant à une baisse des nouvelles inscriptions au 1er cycle au baccalauréat. Les données consolidées du Bureau de coopération interuniversitaire (BCI) seront distribuées sous peu et nous serons alors en mesure d’y voir plus clair.
Le Comité école et société de la FNEEQ, auquel participe notre vice-président aux relations intersyndicales, Ricardo Peñafiel, vient de publier sa chronique de la rentrée. On y soutient, notamment, le fait que l’argent que le Gouvernement a pu consentir pour soutenir le réseau de l’enseignement en ces temps « exceptionnels » ne se rend pas aux enseignantes et enseignants. Il en appelle à une large mobilisation, locale autant que nationale, pour que les principaux acteurs de l’enseignement soient pris en considération. Le SPPEUQAM sera présent pour toutes ces luttes.
Nos luttes ont également une dimension internationale; c’est pourquoi nous participerons au prochain webinaire de la COCAL (Coalition du personnel enseignant précaire en enseignement supérieur, selon son acronyme anglais pour Coalition of Contingent Academic Labor) qui se déroulera, en ligne, samedi prochain (le 26 septembre) de 14 h à 16 h. Toute personne membre d’un syndicat participant peut y participer en s’inscrivant par ce lien.
Pour plus de renseignements, vous pouvez communiquer avec le vice-président aux relations intersyndicales, Ricardo Peñafiel, par l’adresse suivante : penafiel.ricardo@uqam.ca
Selon plusieurs militantes et militants, dont Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal métropolitain-CSN et Benoit Lacoursière, secrétaire-trésorier de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec-CSN, qui œuvrent au sein d’organismes membres de la Coalition Main rouge (www.nonauxhausses.org), et qui proviennent de divers milieux revendiquant l’importance de la justice sociale, : « La pandémie actuelle place le Québec devant plusieurs crises. Elle a mis en lumière les conséquences des inégalités sociales, elles-mêmes accentuées par la crise sanitaire. Sans certaines mesures de soutien au revenu mises en place, la situation aurait été encore plus catastrophique. Alors que plusieurs organisations sociales, mais aussi certaines grandes instances internationales, appellent à une relance qui ne soit pas un retour à une normale, il faut que la relance post-pandémie soit une occasion de faire les choix qui nous mèneront à une société plus juste et plus verte.
L’enseignement palliatif en non-présentiel favorise le dérapage vers la tricherie. Aurons-nous les moyens pour contrer ce fléau?
Lire la suite dans Le Devoir.
Nous connaissons tous la façon préférée des virus de voyager. Et oui, vous avez bien répondu, le mucus ou les gouttelettes contenant un virus provenant de personnes ayant éternué, toussé ou craché se propage à travers l’air ou se dépose sur les surfaces dures de verre, plastique et métal et peut survivre pendant près de 9 jours. Donc ces mêmes doigts ayant touché ces surfaces doivent éviter de toucher vos yeux, votre nez et votre bouche, peut-être même vos oreilles car le virus pourrait s’infiltrer dans ces milieux humides.
Vous n’êtes pas certain.e si la personne avant vous qui a utilisé le meuble multimédia avait un virus ?