Astrid Tirel, chargée de cours au département de sociologie et agente de relation de travail au SCCUQ a été élu le 7 décembre dernier au comité Interculturalité, discrimination et racisme systémiques au travail et éducation de la FNEEQ.
Félicitations!
En partenariat avec le réseau de l’Université du Québec, l’UQAM compte parmi les membres fondateurs du site francophone La Conversation Canada, lancé le 4 décembre dernier. Cette plateforme publie des articles destinés au grand public rédigés par des chercheurs universitaires.
Plusieurs chercheurs de l’UQAM ont déjà collaboré avec La Conversation.
Mélissa Blais, chargée de cours à la Faculté des sciences humaines, y co-signe un article intitulé «Polytechnique, 6 décembre 1989: un premier attentat antiféministe?».
Éric Duchemin, chargé de cours à l’Institut des sciences de l’environnement a aussi contribué à cette plateforme.
Pour lire l’article d’Actualités UQAM sur le sujet, cliquez ici.
Véritable chaos mental, La Machine Tchekhov fouille les entrailles de l’univers dramatique tchekhovien où s’entremêlent nombre de ses personnages aux destins inachevés. Une production dirigée des finissants en jeu, en scénographie et en études théâtrales. Mise en scène par Denis Lavalou, chargé de cours à l’École supérieure de théâtre, la pièce était présentée du 4 au 8 décembre dernier au Studio d’essai Claude Gauvreau (J-2020). Vous pouvez voir des photos de l’évènement en cliquant ici.
La perte de terrain sur les Îles-de-la-Madeleine s’accélère et une tempête catastrophique comme celle de la semaine dernière vient encore plus bousculer les prévisions.
Ursule Boyer-Villemaire, chargée de cours à la Facutlé des sciences humaines et membre du Consortium Égide Résilience, risques et catastrophes s’exprime sur le sujet dans un article du Journal de Québec que vous pouvez consulter en cliquant ici.
Savoir apprêter les légumes en fonction des saisons. Avoir des trucs pour utiliser les restes et éviter le gaspillage alimentaire. Ou encore préparer des conserves de toutes sortes pour s’assurer un garde-manger bien garni tout au long de l’hiver. Encore un livre de recettes tendance ? Oui, en quelque sorte. Sauf que les auteures de celui-ci n’ont pas attendu la mode du zéro déchet et du locavorisme pour les intégrer à leur ouvrage. En 2019, cela fera un siècle que La cuisine raisonnée prodigue conseils et astuces pour mitonner intelligemment.
Marie Pigelet, chargée de cours en études urbaines et touristiques et doctorante en histoire de l’alimentation, explique l’importance de cet ouvrage dans un article publié dans Le Devoir que vous pouvez lire en cliquant ici.
L’édition du 28 novembre du journal Le Devoir nous apprenait que la Commission scolaire de Montréal (CSDM) détourne les budgets de l’éducation des adultes vers les services aux élèves en difficulté des secteurs primaire et secondaire. La présidente de la CSDM justifie cette priorité en affirmant que ces secteurs ont un manque à gagner de 33 millions pour offrir des services adéquats aux élèves en situation de handicap, ayant des difficultés d’adaptation ou d’apprentissage et à ceux qui sont en classe d’accueil et de francisation. La CSDM fait le choix de combler le sous-financement du secteur des jeunes au détriment des ressources du secteur des adultes où, pourtant, les besoins pour les jeunes sont majeurs.
Face à la crise, Emmanuel Macron sort de son mutisme. Il promet des mesures pour apaiser la colère des gilets jaunes. Est-ce suffisant?
Julien Tourreille, chargé de cours au département de science politique, était sur les ondes de Radio-Canada pour discuter de la question dans une entrevue que vous pouvez écouter en cliquant ici.
La chargée de cours à l’École des médias, Nadia Seraiocco, était sur les ondes de Radio-Canada pour discuter du sujet dans une entrevue que vous pouvez écouter en cliquant ici.
Le livre « La renaissance des cultures autochtones : enjeux et défis de la reconnaissance » vient de paraître aux éditions Prologue dans la collection Americana.
Cet ouvrage met en relief le nouvel essor des expressions culturelles autochtones et les conditions de leur réception. Il s’appuie sur des études et des analyses qui mettent en relief la manière dont nos sociétés se transforment, grâce à une véritable renaissance des cultures autochtones ayant cours depuis quelques décennies, et les enjeux et les défis que cela représente du point de vue de leur reconnaissance.
Le chargé de cours au département de sociologie, Jean Régnier, signe un chapitre intitulé : « Des défis à relever pour les artistes autochtones et allochtones en théâtre au Québec » alors que la chargée de cours au département de sociologie, Astrid Tirel, signe quant à elle un chapitre intitulé : « Du réveil indien à la renaissance autochtone : réflexions sur les fondements sociohistoriques de la reconnaissance ».
Les chargées de cours au département de sociologie, Sophie Hamisultane et Isabelle Ruelland, font partie de la direction de l’ouvrage « Clinique en sciences sociales : Sens et pratiques alternatives » paru aux Presses de l’Université du Québec.
Cet ouvrage, qui présente les contributions de nombreux collaborateurs du Québec et d’ailleurs, témoigne de la vivacité et de la nécessité de la clinique en sciences sociales. Sont ainsi explorés les fondements théoriques et méthodologiques de la posture clinique, les pratiques d’intervention sociales éclairées – en particulier par des contributions brésiliennes – et les pratiques innovantes d’une recherche clinique du travail et des organisations.
Pour souligner le 70eanniversaire de la Déclaration, l’Institut d’études internationales de Montréal (IEIM), en collaboration avec la Ville de Montréal et l’Association canadienne pour les Nations Unies (ACNU) du Grand Montréal, organisait un colloque, le mercredi 5 décembre dernier.
L’événement réunissait des chercheurs et des praticiens autour de la question plus spécifique du droit des migrants, dont Elise Hansbury, chargée de cours en sciences juridiques.
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Si les médias ont déjà parlé de personnes qui avaient trouvé les moyens de se suicider sur le darknet, la question n’avait jamais été explorée dans la littérature scientifique. Une équipe de l’UQAM vient de combler cette lacune avec la parution d’un article dans le Journal of Affective Disorders. Le doctorant en psychologie et chargé de cours au département de psychologie, Carl Mörch, est le premier auteur de cet article, basé sur une recherche qu’il mène au Centre de recherche et d’intervention sur le suicide, enjeux éthiques et pratiques de fin de vie (CRISE).
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Depuis 2012, la Faculté des sciences humaines souligne l’excellence des réalisations de ses membres à l’occasion d’une célébration annuelle: Les sciences humaines en tête et en fête. Dans le cadre de la septième édition de cette soirée festive, tenue le 27 novembre, la faculté a remis des prix d’excellence, dont celui d’excellence en enseignement à Maude Lecompte, chargée de cours au département de sexologie.
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Claude Cousineau, chargée de cours en science juridiques, est intervenue en entrevue à l’émission La Facture sur les ondes de Radio-Canada pour commenter le cas d’une dame obligée à rembourser une somme disproportionnée d’aide sociale reçue à cause d’une erreur commise de bonne foi.
Pour voir le reportage, cliquez ici.
La maternelle 4 ans à temps plein en milieu défavorisé (TPMD) joue un rôle primordial : rejoindre les enfants les plus vulnérables qui ne fréquentent pas les services de garde comme les CPE.
Yolande Brunelle, chargée de cours au département de didactique, co-signe une lettre ouverte dans La Presse portant sur le sujet que vous pouvez lire en cliquant ici.
Que peut faire concrètement le gouvernement de François Legault pour intervenir sur les pertes d’emploi.
Dieudonné Ella Oyono, chargée de cours en sciences économiques, signe un texte dans Le Devoir expliquant son analyse sur le sujet.
Vous pouvez consulter cet article en cliquant ici.
L’annonce de la France que l’ex-métropole coloniale allait entamer un processus de restitution d’oeuvres d’art provenant du patrimoine de pays africains crée des remous dans les musées partout sur la planète. Au Canada, le regard se tourne vers les collections d’art autochtone, qui sont encadrés par des normes précises.
Aseman Haghsheno Sabet était en entrevue à l’émission On dira ce qu’on voudra sur les ondes de Radio-Canada pour discuter de la question dans une entrevue que vous pouvez écouter en cliquant ici.
Le 13 novembre 2018, Samir Moukal, chargé de cours au Département d’histoire, a publié un reportage dans la section arabe du site de Radio-Canada International intitulé La violence sexuelle aux universités et CEGEP : retard dans l’application de la loi.
Pour lire et écouter ce reportage, cliquez ici.
Luc Parlavecchio, chargé de cours en Sciences de l’activité physique et étudiant à la maîtrise en kinanthropologie, a remporté un prix Excellence Plein air 2018, remis lors d’un gala organisé par Aventure Écotourisme Québec et l’Association des Parcs régionaux du Québec, le 7 novembre dernier.
Le fondateur et coordonnateur de l’Institut DesÉquilibres a créé le projet Niska, une aventure de sport et de plein air qui s’adresse aux jeunes vulnérables de la nation atikamekw d’Opitciwan, près de La Tuque, en Mauricie.
Vous pouvez lire l’article d’Actualité UQAM sur le sujet en cliquant ici.
Un son, une note, une mélodie et voilà… le cerveau en effervescence. Mais pourquoi certains airs arrivent-ils à nous tirer des larmes, à nous donner la chair de poule, à nous enthousiasmer ou à nous faire danser ? Pourquoi sommes-nous touchés par les symphonies de Beethoven, par les performances vocales de Céline Dion, par les reels endiablés de Ti-Jean Carignan ou encore par les concerts d’Arcade Fire ?
Bien sûr, tout commence par l’oreille. Les ondes sonores produites par un piano, une flûte ou un violon s’y engouffrent et sont transformées en influx nerveux pour rejoindre diverses régions du cerveau.
Le chargé de cours à l’École des médias et journaliste scientifique aguerri, Michel Rochon nous entraîne dans une exploration fascinante du cerveau musical dans son livre publié aux éditions Multimondes intitulé Le cerveau et la musique – Une odyssée fantastique d’art et de science que vous pouvez vous procurer en cliquant ici.
En décembre 2015, le premier ministre Justin Trudeau déclarait dans une entrevue au New York Times Magazine que son pays était le premier État « postnational ». Il s’en expliquait ainsi : « Il n’y a pas d’identité fondamentale, pas de courant dominant, au Canada. Il y a des valeurs partagées — ouverture, compassion, la volonté de travailler fort, d’être là l’un pour l’autre, de chercher l’égalité et la justice. Ces qualités sont ce qui fait de nous le premier État postnational. » Si l’affirmation a pu alors surprendre, elle aurait sans doute paru évidente aux yeux du philosophe canadien-anglais George Parkin Grant (1918-1988), dont les réflexions peuvent servir d’avertissement en ce qui concerne le destin du Québec.
Les épisodes rapprochés d’ondes de tempête qui ont affecté l’Est-du-Québec la semaine dernière pourraient augmenter les risques d’érosion si la succession d’intenses dépressions en de courts laps de temps se poursuit selon Ursule Boyer-Villemaire, chargée de cours à la Faculté des sciences humaines.
Vous pouvez lire l’article de TVA Nouvelles sur le sujet en cliquant ici.
Des entreprises doivent maintenant offrir une formation à leurs nouveaux employés pour qu’ils apprennent le contact visuel. À l’heure où les Américains passent 10 heures en moyenne devant les écrans, les minimums de 50 % de contact visuel nécessaire lorsqu’on parle à quelqu’un et de 70 % lorsqu’on écoute ne sont plus maintenus.
Nadia Seraiocco, chargée de cours à l’École des médias, était en entrevue sur le sujet à l’émission de Catherine Perrin sur les ondes de Radio-Canada que vous pouvez écouter en cliquant ici.
Les aînés gais et lesbiennes sont souvent associés à un segment invisible ou caché de la population vieillissante. Sont-ils plus susceptibles de vieillir seuls et de souffrir d’insécurité? C’est la question à laquelle Julie Beauchamp, chargée de cours au Département de sexologie, tente de répondre dans sa thèse.
Elle est la première candidate du programme de doctorat en sexologie (créé en 2010) à avoir soutenu sa thèse. Intitulée «La participation sociale des aînés gais et lesbiennes: analyse des dimensions identitaire, relationnelle et sociale, et développement d’un outil d’intervention», celle-ci a été réalisée sous la direction de Line Chamberland, professeure au Département de sexologie et titulaire de la Chaire de recherche sur l’homophobie, et d’Hélène Carbonneau, professeure au Département d’études en loisir, culture et tourisme de l’Université du Québec à Trois-Rivières.
Vous êtes féministe. Lors d’un dîner, d’une fête familiale ou d’une sortie amicale, des proches justifient devant vous les inégalités entre les sexes, lancent des blagues sexistes et affirment que les féministes sont des frustrées. Faut-il réagir ou garder le silence afin d’éviter que la situation ne dégénère? Pour répondre à ces questions, la chargée de cours Mélissa Blais (science politique et études féministes) et l’étudiante Marie Soleil Chrétien (maîtrise en science politique) ont rédigé le guide pratique Votre antiféminisme, nos répliques, lequel propose des outils d’autodéfense, comme l’humour, le sarcasme et l’argumentation.
Pour vous procurer cet ouvrage cliquez ici.
