Vous vous souciez de l’environnement?
Voici la première capsule vidéo de la campagne Vert la solidarité. Comment écologiser son milieu de travail?, produite par le Service des communications de la CSN. Faites un pas pour faire bouger les choses.
Voici la première capsule vidéo de la campagne Vert la solidarité. Comment écologiser son milieu de travail?, produite par le Service des communications de la CSN. Faites un pas pour faire bouger les choses.
Dans le cadre de la Semaine nationale de la santé et de la sécurité du travail (SNSST), du 18 au 24 octobre, la CSN a produit une vidéo sur le thème L’austérité n’aura pas notre peau et une autre vidéo plus spécifique sur les effets insidieux de l’austérité libérale sur les travailleuses et les travailleurs dans nos écoles.
Toujours dans le cadre de la SNSST, le comité d’action en santé et sécurité du travail du CCMM-CSN organise un 5 à 7 d’information sur la question de l’amiante pour faire le point sur la nouvelle réglementation concernant la gestion préventive de l’amiante le jeudi 22 octobre à 17h, à la salle Michel-Chartrand, 1601, De Lorimier, à Montréal.
Fort d’un mandat de grève de six jours, le Front commun annonce que ses premiers jours de débrayage se tiendront dans la semaine du 26 octobre si aucune avancée sérieuse n’est constatée aux différentes tables de négociation du secteur public. «Notre calendrier de grève, basé sur le principe de gradation des moyens de pression, prévoit laisser tout l’espace nécessaire à la négociation, affirme Francine Lévesque, vice-présidente de la CSN. Nous commencerons, si nécessaire, la semaine du 26 octobre, à raison d’une journée par région.»
Le président du Syndicat des enseignantes et des enseignants du Cégep de Lévis-Lauzon, M. Mathieu Bhérer, appelle la direction du cégep à cesser de faire preuve de mépris envers le personnel enseignant et les autres personnels syndiqués de l’établissement. Il dénonce plusieurs des actions entreprises par la direction, entre autres, une tentative – qui s’est avérée illégale – de réduire la représentation des enseignantes et des enseignants à la Commission des études et une diminution importante des libérations syndicales, pourtant à coût nul pour le collège!
Déterminé à en arriver à une entente avec les employés du secteur public avant la fin du mois de novembre, le gouvernement Couillard jette du lest: des demandes patronales importantes ont été abandonnées à la table sectorielle de l’éducation. Pour les enseignants, les négociateurs du comité patronal ont retiré tout récemment la demande de faire passer de 32 à 35 heures la semaine de travail, une source majeure d’irritation. Le gouvernement renonce aussi à faire des économies en augmentant le ratio maître-élèves de la 4e à la 6e année du primaire.
Lire la suite du texte de La Presse.
L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue pourra bénéficier de l’entente entre la Chine et le Québec dans le domaine de l’éducation. Plus tôt cette semaine, la ministre des Relations internationales, Christine St-Pierre, et la consule générale de Chine, Zhao Jianping, ont officialisé une entente. Elle favorisera la mobilité d’étudiants. Au Québec, les étudiants chinois auront accès à des exemptions de droits de scolarité supplémentaires ainsi qu’à des bourses d’excellence au niveau doctoral, postdoctoral et pour des séjours de recherche.
Lire la suite sur radio-canada.ca
L’Université Bishop’s enregistre une hausse de 15% de ses nouveaux étudiants à temps plein par rapport à l’an passé. Or, Bishop’s se retrouve avec 500 000$ de moins que ce qu’elle avait anticipé. L’institution est financée en fonction du nombre de crédits pris par les étudiants, et ceux-ci en prennent moins que ce que prévoyait l’institution.
Lire la suite du texte de La Tribune.
Quelques centaines de travailleuses et de travailleurs du secteur public ont occupé mercredi matin les bureaux montréalais de la firme KPMG, placée sous les projecteurs en fonction de son rôle allégué dans l’évasion fiscale de ses clients, une action qui s’inscrit dans le cadre des semaines de perturbations socioéconomiques du Front commun. «Le gouvernement libéral justifie ses offres salariales en prétextant que les coffres de l’État sont vides, a rappelé la présidente du Conseil central du Montréal métropolitain–CSN, Dominique Daigneault. Or, depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement Couillard n’a rien fait pour freiner l’évasion et l’évitement fiscaux, qui privent pourtant l’État de millions voire de milliards de dollars chaque année.»
Les quelque 150 officiers mécaniciens et de navigation membres de la section locale 9599 seront convoqués à une nouvelle assemblée (qui se tiendra en différents moments dans les cinq traverses). On y discutera de la proposition de l’employeur ainsi que de la grève et un vote secret sera tenu. Les avis de convocation seront transmis sous peu. Les officiers des traverses de Québec/Lévis et Sorel/Saint-Ignace-de-Loyola, Isle-aux-Coudres/Saint-Joseph-de-la-Rive, Matane/Baie-Comeau/Godbout, Tadoussac/Baie-Sainte-Catherine sont en grève générale illimitée depuis lundi.
C’est après sept jours de marche que le groupe de pression Tous amis de Radio-Canada, se sont donné rendez-vous sur la Colline Parlementaire à Ottawa. Les cinq marcheurs qui ont réussi l’exploit, soit plus 200 kilomètres de marche, étaient accompagnés d’une centaine de personnes afin de terminer leur périple en traversant la rivière des Outaouais. L’objectif était d’y aller avec une déclaration de principes, énumérant les dispositions jugées nécessaires au maintien et à la survie d’un diffuseur public fort.
Le ministère de l’Éducation est «vieillot», lent, s’appuie sur peu de données fiables, et des fonctionnaires pourraient être invités à «relever de nouveaux défis ailleurs». C’est le ministre François Blais lui-même qui le dit, selon un document obtenu par La Presse. Le Conseil supérieur de l’éducation et certains dispositifs ont peut-être eu leur utilité, mais ne s’avèrent plus si pertinents actuellement, a aussi soutenu le ministre devant des représentants de l’Association des doyens, doyennes et directeurs, directrices pour l’étude et la recherche en éducation au Québec.
Un ancien ministre de l’Éducation donne raison à François Blais.
L’Internationale de l’éducation apporte son soutien inconditionnel à Hilal Akrout, un enseignant syndicaliste emprisonné, ainsi qu’à l’ensemble des employées et employés de l’éducation détenus arbitrairement au Yémen, et exige le respect des libertés et droits de la personne fondamentaux du peuple yéménite.
L’Université du Québec en Outaouais et la ville de Gatineau étudient la possibilité de signer un nouveau protocole d’entente de financement. Un comité formé de membres des deux instances a présenté plusieurs projets de financement en prévision du prochain budget municipal prévu pour décembre. L’objectif ultime est de faire rayonner la ville de Gatineau, tout en dotant l’Université de nouvelles installations afin de bâtir un véritable quartier universitaire.
Lire la suite sur radio-canada.ca
L’essai The Fourth Revolution de John Micklethwait et Adrian Wooldridge prétend que l’État social est devenu trop coûteux. La seule solution serait de parachever la révolution néolibérale des années 1980 en mettant en place une réingénierie de l’État, des privatisations et des coupes dans les services publics. Sachant que cette proposition d’une «quatrième révolution» néolibérale inspire ouvertement le gouvernement du premier ministre Philippe Couillard, il s’avère pertinent de présenter une recension critique de cet essai au public qui souhaiterait contextualiser les transformations socioéconomiques en cours et à venir.
Lire le document de réflexion de l’IRIS.
Il y a quelques semaines, des chercheurs de l’Institut économique de Montréal (IEDM) ont publié une note sur la persistance de la pauvreté. La première conclusion de la note mise de l’avant par l’IEDM (notamment dans son communiqué) est que seulement 1,5% des gens vivent de façon prolongée dans la pauvreté au Canada et que ce taux serait en baisse. La deuxième conclusion est que si l’on prend les gens qui étaient dans le quintile le plus pauvre de la population en 1990 et qu’on regarde le revenu de ces mêmes personnes en 2009, on constate qu’il est passé de 6 000$ à 44 100$, soit une augmentation de 635%.
Samuel Caron et Hugo Morin publiaient le 29 septembre sur le blogue de l’IRIS un billet intitulé Économie et externalités: les profits et les pertes dont on ne parle pas. On y oppose une analyse dite «classique», qui ne tiendrait compte que des coûts et des bénéfices directs, à une analyse qui donnerait «une vue d’ensemble de la société», soit celle qui tient compte des externalités. Cependant, loin de révolutionner la science économique, cette approche va plutôt dans le sens des réformes néolibérales des 30 dernières années. Voyons pourquoi.
Lire la suite sur le blogue de l’IRIS.
Dans le cadre des actions de la Marche mondiale des femmes, des membres de la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics, principalement des femmes, ont occupé durant une heure, les bureaux du ministre Pierre Arcand, à Montréal. Par cette action, visant un membre du cabinet Couillard, les groupes sociaux de divers horizons ont voulu, le 8 octobre, rappeler que les mesures d’austérité sont inacceptables et ont de graves conséquences sur toute la population, en particulier sur les femmes.
Au Québec, le printemps dernier, plusieurs milliers d’étudiants ont déclenché une grève et manifesté au froid contre les soi-disant mesures d’austérité du gouvernement de Philippe Couillard. La campagne rappelait le printemps érable de 2012, qui s’inscrivait contre la hausse prévue des frais de scolarité. Or, les manifestations du printemps dernier n’ont pas semblé récolter le même appui populaire que celles d’il y a trois ans. Et l’appui dont les étudiants jouissaient bel et bien s’est effrité au fil des nouvelles rapportant de l’intimidation, du vandalisme et des violences sporadiques. De plus, l’appel anti-austérité n’avait pas la clarté d’un appel au gel des frais de scolarité.
Dans sa chronique du 25 septembre dernier, le journaliste Francis Vailles affirmait dans La Presse que les dépenses du gouvernement du Québec en éducation avaient augmenté de 67% de 2004 à 2014, soit davantage même que l’augmentation des dépenses en santé. Son calcul était basé, en toute bonne foi, sur les données officielles publiées par le ministère des Finances du Québec. Or, ce chiffre, lourd de conséquences dans le débat politique actuel, vient d’un calcul erroné. En réalité, les dépenses en éducation ont progressé de seulement 35% depuis 10 ans. Elles ont donc à peine suivi l’augmentation de la richesse collective (PIB), qui a été de 38% durant cette période.
Il est intéressant de se rappeler, à l’aide de quelques données, à quel point les étudiants ne manquent pas de choix au Québec. L’on ne s’en rend pas toujours compte, mais le réseau universitaire québécois est plus varié et étendu qu’on ne le croit. Il compte aujourd’hui dix-huit établissements universitaires fréquentés, en 2012, par 295 000 étudiantes et étudiants.
Lire la suite du texte du Devoir.
Dans la course aux sujets les plus populaires en campagne électorale, l’économie gagne haut la main, reflet des priorités des électeurs, qui la mettent toujours, et de loin, en tête de liste quand on leur demande de classer les enjeux en ordre d’importance. Le reste passe au second plan, ou est carrément oublié. Ainsi de la science qui, traditionnellement, tombe dans le grand trou noir électoral. Mais pas cette fois-ci. L’heure est au sursaut, maintenant que les conservateurs nous ont fait toucher le fond.
Lire la suite de l’éditorial de Josée Boileau dans Le Devoir.
Déversement des eaux usées : des scientifiques dénoncent Stephen Harper.
Pour Éric Bauce, vice-recteur principal au développement de l’Université Laval, les importantes compressions budgétaires auxquelles fait face le réseau universitaire n’empêcheront pas son institution de garder le cap sur le développement durable, dont elle a dévoilé son plan triennal 2015-2018 la semaine dernière.
Lire la suite du texte du Soleil.
L’Internationale de l’éducation a réussi à faire inclure quelques-unes de ses recommandations adressées au Comité d’experts sur l’application des recommandations concernant le personnel enseignant (CEART), dans le dernier rapport disponible en ligne. Le CEART est un comité mis en place conjointement par l’Organisation internationale du Travail (OIT) et l’UNESCO, composé de 12 experts indépendants en matière d’éducation, provenant du monde entier.
L’Internationale de l’éducation a exprimé ses plus sincères condoléances à son affilié turc, l’Education and Science Workers’ Union, après la nouvelle du décès de deux militantes et trois militants dans le double attentat à la bombe qui a frappé la ville d’Ankara, le week-end dernier.
Le prix Nobel de la paix 2015, qui honore le Quartet du dialogue national en Tunisie pour sa contribution à la construction démocratique à la suite de la révolution tunisienne, inclut cinq des propres affiliés de l’Internationale de l’éducation.
La Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme prix Nobel de la paix 2015.