Le chef du NPD, Thomas Mulcair, ne pense pas qu’un autre parti provincial orange a sa place au Québec. Le chargé de cours au Département de science politique André Lamoureux partage son avis. «Ça ne regarde pas bien. Il y aurait peut-être eu possibilité pour le NPD-Québec d’être relancé, dans la mesure où il y aurait eu une victoire au fédéral.» Le politologue croit qu’un parti NPD dans la province se retrouverait «coincé en marge de l’échiquier politique», aux côtés de Québec solidaire et Option nationale, avec un faible pourcentage d’appuis aux prochaines élections. «Si le NPD-Québec veut redevenir ce qu’il a été dans l’histoire, c’est-à-dire un petit parti marginal animé par les anglophones de l’ouest de Montréal ou de l’Outaouais, c’est une possibilité qu’ils pourraient rencontrer.»
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