À l’instar des syndicats d’enseignement, des groupes étudiants souhaitent que le projet de loi visant à prévenir les violences à caractère sexuel dans les cégeps et universités interdise les liaisons entre professeurs et étudiants. Les auditions publiques concernant le projet de loi 151 doivent s’entamer jeudi à l’Assemblée nationale avec la présentation des arguments de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) et de l’Union étudiante du Québec (UEQ). Les deux organisations sont formelles: les relations entre un enseignant et un étudiant doivent être «proscrites» et non pas être «encadrées», comme le propose la pièce législative déposée au début du mois par la ministre de l’Éducation supérieure, Hélène David. «Il faudrait carrément proscrire les relations directes entre un professeur ou un membre du personnel et un étudiant», tranche Simon Telles, président de l’UEQ, qui regroupe huit associations universitaires étudiantes.
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Nouveau-Brunswick : Un député en faveur d’une politique contre la violence sexuelle dans les collèges et les universités.