La semaine dernière, Alain Dubuc s’en est pris à l’IRIS pour sa «réappropriation culturelle» du terme «austérité». Il nous reproche d’essayer de faire croire que le Québec, c’est la Grèce. Il en profite ensuite pour nous accuser de parler de néolibéralisme alors que les dépenses de l’État quant au PIB augmentent, ce qui serait antinomique. Remettons les pendules à l’heure. D’abord, non, le Québec n’est pas la Grèce. La situation économique est moins catastrophique ici et les mesures imposées à la population y sont moins drastiques. Toutefois, la logique est la même: il y a eu crise économique, faible reprise, puis insistance sur la réduction du déficit et de la dette à tout prix, présentée comme moyen le plus efficace de retourner à une croissance.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.