Alejandra Robert avait une carrière, une maison à l’Île-des-Sœurs et une BMW de l’année lorsqu’elle a subi en 2007 un traumatisme crânien à la suite d’un grave accident d’auto. Incapable de travailler depuis, elle a tout perdu et s’est retrouvée à la rue. «Il y a des gens qui se tuent pour la moitié de ce que j’ai vécu», confie avec émotion la femme de 42 ans, rencontrée au refuge pour femmes Chez Doris, à Montréal.
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