De nombreux diplômés issus de l’immigration peinent à trouver du travail. Le taux de chômage est deux fois plus élevé chez les minorités visibles (13,3%) que dans la population générale (7,2%), selon les données de Statistique Canada pour 2011. Dans sa recherche sur la persévérance universitaire des étudiants immigrants, la professeure Fasal Kanouté de l’Université de Montréal note que «plusieurs parlent de phénomènes discriminatoires, subtils ou flagrants, qui ont jalonné leur recherche ou leur expérience d’emploi».
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