La gestion d’une plainte pour harcèlement sexuel met une fois de plus l’Université du Québec à Montréal (UQAM) dans l’embarras: étudiants et membres du personnel reprochent à l’établissement de vouloir minimiser l’affaire, qu’ils considèrent comme une autre manifestation de la culture du viol sur le campus. L’affaire remonte au 7 décembre, quand un étudiant du baccalauréat en relations internationales et droit international (BRIDI) a lancé, dans une conversation avec des amis sur Facebook, qu’il avait l’intention d’agresser une étudiante et de la droguer au GHB dans une soirée «vins et fromages» prévue le vendredi 11 décembre.
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