« Les arts, c’est le système nerveux de la population. C’est ce qui fait comprendre les émotions engendrées par une situation, une époque, un courant de pensée. C’est ce qui trace le chemin pour digérer des évènements et pour provoquer des questionnements autrement qu’à travers un texte à caractère journalistique ou scientifique. C’est aussi un puissant liant social. » Ainsi s’exprimait notre collègue musicienne et militante, Zoé Dumais, dans La Presse du 15 juillet dernier.
Photo : Camille Gladu-Drouin
Un mois plus tard, le 15 août, sous le titre, « À quand la sobriété pour la planète? » elle récidive par un texte paru dans Le Devoir.
On y lit alors en conclusion : « On ne peut qu’être d’accord avec le titre « La sobriété pour la planète ». Mais si l’on souhaite réellement que la mobilisation citoyenne provoque ce changement, il faudra revoir l’importance qu’on lui accorde et la manière dont elle est traitée médiatiquement. Et il faudra sans doute repenser l’espace médiatique qui est accordé à la dénonciation de l’inaction politique avant de voir enfin des résultats concrets. » On peut accéder aux impressionnantes notes biographiques de Zoé Dumais par ici. Il fait bon d’être témoin de l’engagement d’une de nos collègues, chargée de cours. Merci, pour votre implication sociale et
artistique, madame Dumais!