… c’est le slogan du gouvernement caquiste, pour qui le problème en santé, c’est encore et toujours la mauvaise foi des syndicats et que si ça va mal, c’est la faute des conventions collectives que l’on interprèterait de façon trop rigide du côté syndical … Mais une convention, est-ce que cela n’est pas pour déterminer précisément des références entre deux parties pour déterminer les conditions de travail? À lire ici, par cet article de Tommy Chouinard, dans La Presse. Chose certaine pour améliorer nos conditions de travail, à titre de précaires de l’enseignement universitaire, il faut, jour après jour, exiger le respect et prendre notre place en tissant les mailles de notre essentielle solidarité, comme nous l’avons d’ailleurs fait lors de la célébration du 45e anniversaire du SPPEUQAM le 9 février dernier.
Bonne lecture à vous avec cette édition des Nouvelles du SPPEUQAM!
Jean Régnier, vice-président à l’information
Ont participé à cette édition : Olivier Aubry, Cathy Beausoleil, Marjolaine Béland, Nathalie Blanchet, Lorraine Doucet, Simon Leclerc, Astrid Tirel et Nancy Turgeon.