L’UQO méprise ses étudiants salariés
Déjà plus de 11 rencontres et 10 mois de négociations patronales-syndicales, pour le renouvellement de la convention collective au Syndicat des étudiants et étudiantes salariés de l’UQO. Et toujours pas d’avancement. Des salaires peu élevés, des conditions de travail ridicules et toujours cette impression de mépris et de sous-emploi. Ça prend des semaines avant d’être payé. La carte de crédit, elle, n’attend pas. Ni les frais étudiants. Le loyer non plus.
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